Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
brigitte bardot
Visiteurs
Depuis la création 964 673
BRIGITTE BARDOT

BLOG-GIF-BB-et_dieu-1 
Bienvenue sur ce blog consacré à Brigitte Bardot

3 septembre 2009

Après Et Dieu créa la femme par Willy Rizzo

Après le tournage du film Et dieu créa la femme 

Brigitte Bardot en 1956 à Paris
photographiée par  Willy Rizzo

bb_film_et_dieu_by_rizzo_010_1
bb_film_et_dieu_by_rizzo_011_1

Commentaire du photographe Willy Rizzo
(source: le site polkagalerie )
 "C'était après le tournage de "Et Dieu créa la femme" à Saint-Tropez. De mon retour à Paris, j'ai pris cette photo de Brigitte dans mon studio de la rue François Ier. Vadim l'a choisie pour l'affiche. Comme dans le film, où on se souvient de son mambo torride. Grâce à un procédé technique, le stroboscope, on la voit voler, virevolter, sous toutes les coutures."  

Publicité
Publicité
Commentaires
M
Bonjour, je viens de tomber un peu par hasard sur ce blog aujourd'hui. Je cherchais des "traces" de Simone Berry. Pas trouvé grand chose mais tout de même 4 à 5 vinyles 45 tours dont un SP (deux titres) avec comme Label et référence : Disques Versailles - Réf : 45-S-521 pour la chanson "Dis-moi quelque chose de gentil" datant très certainement ou plutôt très logiquement de l'année du film "Et Dieu créa la femme" : 1956. Il s'agit d'un disque sans réelle pochette cartonnée avec photographie (en fait : une pochette en papier avec au moins le nom du label, Disques Versailles.<br /> <br /> <br /> <br /> La pochette a un large "trou" circulaire pour faire apparaître directement l'étiquette collée sur chaque face du disque. En fait, cela fait penser aux disques destinés aux jukebox de l'époque d'après-guerre.).<br /> <br /> <br /> <br /> Sur la face B : "L'Anneau d'or" avec un texte de ... Francis Blanche (et une chanson je pense interprétée par Solange Berry).<br /> <br /> <br /> <br /> C'est parce je me suis enfin décidé à regarder le film il n'y a pas longtemps (en ayant acheté le DVD de chez René Chateau, il y a longtemps) que je me suis rendu comte que ce film qui a marqué une époque et installa le mythe de Brigitte Bardot n'est ni bon ni mauvais. Pour ma part, c'est une curiosité de cinéphile. Le plaisir d'y voir une Brigitte Bardot très belle (je ne suis pourtant pas un inconditionnel de l'actrice, mais celle-ci se défend bien dans ce film), le plaisir également d'y découvrir un Jean-Louis Trintignant tout jeunot avec déjà (ou presque) la voix que l'on lui connaît et d'y voir la toujours belle présence de Curd Jürgens (avec sa chaude voix et son bel accent).<br /> <br /> <br /> <br /> Quant à Christian Marquand, je me suis rendu compte qu'il ne partageait pas totalement l'affiche avec BB. D'ailleurs son nom sur le générique n'apparaît qu'en "petit" avec d'autres noms. D'où ma surprise de voir finalement un Jean-Louis Trintignant assez important dans le film alors que je pensais qu'il avait qu'un rôle secondaire...<br /> <br /> <br /> <br /> Pour revenir à Christian Marquand, celui-ci avait un frère également acteur mais moins connu, Serge Marquand, Mais naturellement, Ces deux frères avaient une sœur, Nadine Marquand, devenue à la fin des années 60 Nadine Trintignant, épouse de Jean-Louis. Christian Marquand a donc été l'un des oncles de Marie Trintignant, tristement disparue en été 2003, lors de la canicule.<br /> <br /> <br /> <br /> En 1989, j'ai rencontré et travaillé avec une autre sœur de Christian et Serge Marquand, Huguette Marquand Ferreux. Elle avait eu un contrat avec la Fondation et les éditions Maeght pour y faire l'inventaire en photographie d'un musée ; celui du Musée Henri Langlois, situé en partie en sous-sol dans l'aile Nord du Palais de Chaillot à Paris. 1989 était donc l'année du bicentenaire de la Révolution française et le centenaire de la Tour Eiffel avec ses nouvelles illuminations. Quand au Musée du Cinéma, aujourd'hui disparu (enfin celui créé de toute pièce par Henri Langlois ; les "restes" sont à Bercy à présent), il connaissait donc un "dépoussiérage" avec un démontage et un remontage de toutes les pièces de collection qui étaient présentes afin de les photographier. Au bout : un énorme coffret incluant deux magnifiques ouvrages et un gros catalogue. Bref, tout cela pour vous dire que cette sœur m'avait parlé de son frère Christian qui hélas perdait déjà à cette époque-là la mémoire (il est mort à l'an 2000). <br /> <br /> <br /> <br /> Si je n'aie vu "Et Dieu créa la femme" que très tardivement (le terme est faible), j'ai vu en son époque de sortie en 1970 (mais tourné en 1968) un curieux long-métrage réalisé aux États-Unis par Christian Marquand : "Candy" avec un casting incroyable autour de la jeune Ewa Aulin : Richard Burton, James Coburn, Marlon Brando, Walter Matthau, Ringo Star, Charles Aznavour, John Huston (le fameux réalisateur qui a fait l'acteur des fois chez les autres). J'ai le DVD mais je n'ai pas encore revu ce film bizarre voir atypique. Mais j'ai regardé le bonus inclus dans le DVD. Un enfant devenu adulte de Christian Marquand parle de ce film et de son père. Sur le moment, je me suis demandé qui était la mère et bien c'est Dominique Sanda.<br /> <br /> <br /> <br /> Je suis collectionneur de disques vinyles de musique de film (j'avais un peu délaissé ma collection enfermée dans des boîtes à cause de déménagements successifs). Mais j'ai replongé dedans et j'ai retrouvé notamment le vinyle 33 tours de "Et Dieu créa la femme". Oui, je dis bien le 33 tours car en France c'est un 25 cm que je n'ai pas d'ailleurs. Le disque 33 tours est Américain et la pochette, différente, est magnifique (bien mieux que cette simple photographie en noir et blanc de Brigitte Bardot regardant l'objectif, assise studieusement sur la plage). L'écoute du disque US datant de 1958 est très bonne et on y entend entre les plages (les séparations des morceaux musicaux) la voix de Brigitte Bardot pour quelques réflexions). Sans être un collectionneur de BB, j'aime bien avoir des documents d'époque qui accompagnait l'exploitation d'un film et c'est ainsi que je suis tombé, il y a vingt ans (les années passent vite...), de cinq dossiers presse façon album photo de famille. Chaque exemplaire contient deux photographies en couleurs différentes d'exploitation avec des ornementations dessinées en arabesque où est présent le visage de BB. Ce sont dix photographies que renferment ces albums qui ont à présent presque 60 ans. Les documents sont restés intacts et soigneusement rangés avec le disque.<br /> <br /> <br /> <br /> Pour terminer, je dirai que "Et Dieu créa la femme" reste un film intéressant à bien des égards : le début du mythe Bardot (que l'on aime ou pas), le Saint-Tropez de cette époque, le casting autour de BB, la musique (je suis d'accord avec l'idée que Jacqueline François aurait été d'un autre impact pour la chanson qui plombe - avec Simone Berry - la modernité d'alors du film), le CinémaScope assez bien employé, l'ambiance général du film du temps qui passe et d'une époque révolue.<br /> <br /> <br /> <br /> Cinématographiquement votre<br /> <br /> <br /> <br /> PS : le DVD de chez René Chateau est très acceptable si l'on regarde le film comme je l'ai fait sur un écran plat à la dimension moyenne (environ 70 cm de diagonal). En approchant l'écran à un mètre seulement, l'image reste nette et les couleurs donnent l'impression d'être naturelles. Un écran plus grand, c'est bien mais à condition de sélectionner le film à voir selon la qualité du support. Avec un format TV moyen, on est jamais vraiment déçu de l'image. Je vous dirai même que certains films sont à visionner sur un écran tube (16/9) pour raviver des images malmenées par l'éditeur.
Répondre
A
Bonjour. La chanson n est elle pas interpretee par Becaud comme on peut le lire en fin de generique ? Ce qui me fait croire qu il y avait quatre amours de Bardot au generique! Ph.
Répondre
R
C'est quoi le bouquin anglais de Tony Crawley ? Je viens d'acheter une édition US. Il y a effectivement plus de pages et de photos que dans l'édition française, mais les photos dont tu parles à propos de "Et Dieu...", je ne les ai pas trouvées. Il y aurait donc 3 éditions de ce livre (française, anglaise, américaine), toutes différentes ? Bizarre, bizarre...
Répondre
G
merci jéjé, j'ai bien reçu ton mail :o) j'essaierai de faire ça ce week end (si je trouve le temps)!
Répondre
R
Tu permets, juste un mot quand même... Les films "introuvables", je ne sais pas ce que tu entends par là. Il n'y a que des films qui n'ont pas trouvé preneurs, c'est-à-dire de distributeurs, et dont les copies roupillent dans les stocks. <br /> Bandes, bobines, c'est kif-kif pareil ? Ben non, encore une fois. J'ai rappelé qu'on parlait de films sur pellicule 35 mm ayant bénéficiés d'un visa d'exploitation délivré par le Centre National de la Cinématographie. Aucun rapport avec les "bandes" de tes copines chanteuses qui, à ma connaissance, n'ont pas été visées par le CNC et qui appartiennent à qui veut bien les ramasser.<br /> Puisque tu fréquentes le milieu du show biz, tu dois savoir que "domaine public", ça ne veut pas dire tout le monde se sert gratos, jéjé. Ça signifie qu'une oeuvre (quelle qu'elle soit) n'appartient plus à une personne en particulier (personne physique ou société qui la représente) qui en détient, seule, l'exclusivité des droits.<br /> Et j'en aurai terminé, promis.
Répondre
Publicité
BB Forum
Derniers commentaires
Publicité