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BRIGITTE BARDOT

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Bienvenue sur ce blog consacré à Brigitte Bardot

11 mai 2011

Le Soir Magazine 14/05/2011

mag_lesoir_beLe magazine belge Le Soir Magazine sorti le 14 mai 2011 consacre sa couverture à Brigitte Bardot et Gunther Sachs. 

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9 mai 2011

Mort de Gunter Sachs, ex-mari de BB et play-boy flamboyant

Mort de Gunter Sachs, ex-mari de BB et play-boy flamboyant

article publié sur planet.fr
le 8 mai 2011

Gunter Sachs, baptisé par la presse de son pays natal "seul et unique play-boy allemand", s'est suicidé, laissant le souvenir d'un millionnaire flamboyant qui avait conquis le coeur de Brigitte Bardot.

La Fondation de l'ex-icône du cinéma français a l'une des premières confirmé son décès dimanche.

"Nous avons appelé le secrétaire particulier de Gunter Sachs qui nous a confirmé le suicide, mais nous n'avons aucune précision sur les circonstances", a-t-on déclaré à la Fondation.

planet1Brigitte Bardot "a été informée et elle est effondrée. Elle avait gardé des liens très forts avec Gunter Sachs qui avait assisté aux 20 ans de sa Fondation", a-t-on ajouté de même source.

Selon le magazine allemand Bunte, qui cite Rolf Sachs, fils de l'ancien play-boy et flambeur, le photographe est mort dans son chalet en Suisse, à l'âge de 78 ans.

L'hebdomadaire allemand Focus, sur son site internet, affirme que Gunter Sachs s'est suicidé avec une arme à feu.

Dimanche, les abords du "Vieux Chalet", sa résidence qui surplombe la célèbre station de ski de Gstaad, étaient déserts à l'exception de deux gardes de sécurité, a constaté un photographe de l'AFP.

planet2Le grand public connaît surtout Gunter Sachs en tant que troisième des quatre maris de Brigitte Bardot ou "BB", qu'il épouse alors qu'elle est l'icône absolue du cinéma français.

Quelques heures après leur rencontre, il fait larguer par hélicoptère des centaines de roses rouges sur la Madrague, la célèbre maison de l'actrice à Saint-Tropez, sur la côte d'Azur.

"Ce n'est pas tous les jours qu'un homme largue une tonne de roses dans votre cour", écrira-t-elle.

Quelques semaines plus tard, le 14 juillet 1966, le mariage a lieu, dans la plus stricte intimité, à Las Vegas. Ils divorcent le 1er octobre 1969.

Auparavant, Gunter Sachs avait fait interdire la diffusion de la chanson "Je t'aime moi non plus", enregistrée en 1967 par le duo Brigitte Bardot et Serge Gainsbourg, alors amants. Le duo sulfureux sera réenregistré en 1969 avec Jane Birkin.

planet3Petit-fils du fondateur d'Opel, Adam Opel, et fils d'un riche industriel, celui que les éditions internet des journaux allemands qualifiaient dimanche de "playboy exemplaire" ou de "gentleman", est né le 14 novembre 1932 à Mainberg (sud de l'Allemagne), mais a passé le plus clair de sa vie en Suisse, dont il prendra la nationalité en 1976.

Ne s'occupant que de loin de l'héritage industriel familial, Gunter Sachs s'illustre plutôt par son train de vie fastueux et ses frasques amoureuses.

Outre Brigitte Bardot, les journaux lui attribuent la conquête de l'ancienne impératrice d'Iran Soraya.

Père de trois enfants, il était marié depuis 1969 avec un ancien mannequin suédois.

Ses amours intéressent davantage que son authentique passion pour l'art.

Lui-même photographe et auteur de documentaires reconnu, Gunter Sachs a aussi été un mécène féru de "pop art", ami personnel d'Andy Wahrhol et de Salvator Dali.

Ces dernières années, il se passionnait pour l'astrologie et y avait consacré un livre, devenu un best-seller.

La vie de Gunter Sachs a été émaillée de drames personnels. A l'âge de 26 ans, il perd sa première épouse des suites d'une erreur médicale. Et la même année, son père se suicide par arme à feu.

"Gunter Sachs a toujours mordu dans la vie à pleines dents (...). Ceux qui l'ont connu peuvent très bien s'imaginer qu'il ait voulu la quitter plus vite pour mettre fin aux souffrances de la vieillesse", lisait-on dimanche sur le site internet du journal suisse Die Neue Zürcher Zeitung. 

 

9 mai 2011

Gunter Sachs, ex-mari de Brigitte Bardot, s'est suicidé

Gunter Sachs, ex-mari de Brigitte Bardot, s'est suicidé

article publié sur lemonde.fr
le 9 mai 2011

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Gunter Sachs, baptisé par la presse de son pays natal "seul et unique play-boy allemand", s'est suicidé à 78 ans pour échapper à la maladie d'Alzheimer, laissant le souvenir d'un millionnaire flamboyant qui avait conquis le cœur de Brigitte Bardot.

La famille du photographe a publié, dimanche 8 mai, une lettre d'adieu dans laquelle il dit avoir pris conscience ces derniers mois qu'il souffrait "d'une maladie sans issue". Gunther Sachs, qui s'est donné la mort dans son chalet à Gstaad, en Suisse, écrit que "la perte de contrôle intellectuel sur [sa] vie aurait été un état indigne" et qu'il avait voulu "l'empêcher de manière résolue", selon ce message reproduit par l'Agence télégraphique suisse.

Brigitte Bardot "est effondrée. Elle avait gardé des liens très forts avec Gunter Sachs", a-t-on appris auprès de la fondation de l'ancienne icône du cinéma français. L'hebdomadaire allemand Focus, sur son site Internet, affirme que Gunter Sachs s'est suicidé avec une arme à feu.

8 mai 2011

Le photographe allemand Gunter Sachs s'est suicidé

Le photographe allemand Gunter Sachs s'est suicidé

article publié sur rtl.fr
le 8 mai 2011

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Gunther Sachs, ici en 1966 avec son ex-femme, l'actrice Brigitte Bardot / AFP

En bref - L’essentiel de l’info
Le photographe allemand et ancien mari de Brigitte Bardot, Gunter Sachs, s'est suicidé, a indiqué dimanche 8 mai 2011, la Fondation de l'ex-star de cinéma. Brigitte Bardot "a été informée et elle est effondrée. Elle avait gardé des liens très forts avec Gunter Sachs qui avait assisté aux 20 ans de sa Fondation", a-t-on ajouté de même source. Selon le magazine allemand Bunte, qui cite Rolf Sachs, fils de l'ancien play-boy et flambeur, le photographe est mort dans son chalet en Suisse à l'âge de 78 ans. De son côté, l'hebdomadaire allemand Focus, sur son site internet, affirme que Gunter Sachs s'est suicidé à l'aide d'une arme à feu. La police du canton de Berne s'est refusée à tout commentaire. "Nous ne pouvons rien dire pour le moment", a répondu un porte-parole.

En détail
 Milliardaire, collectionneur d'art et mécène, Gunter Sachs était le petit-fils du fondateur d'Opel, Adam Opel, et fut le troisième des quatre maris de "BB", à l'époque icône absolue du cinéma français.
Quelques heures après leur rencontre, il avait fait larguer par hélicoptère des centaines de roses rouges sur la Madrague, la célèbre maison de Brigitte Bardot sur la côte d'Azur.
"Ce n'est pas tous les jours qu'un homme largue une tonne de roses dans votre cour", écrira-t-elle.
Quelques semaines plus tard, le 14 juillet 1966, le mariage a eu lieu, dans la plus totale discrétion, à Las Vegas. Ils divorceront le 1er octobre 1969.
A la fin des années 90, Gunter Sachs s'était passionné pour l'astrologie. Il avait notamment publié un best-seller en Allemagne et créé, en Suisse, un "Institut pour l'analyse empirique et mathématique de la teneur en vérité de l'astrologie".

25 avril 2011

Le Forum Initiales BB

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Initiales B.B.

Forum InitialesBB
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25 avril 2011

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25 avril 2011

Gif - Le Mépris -1

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24 avril 2011

Delon : Il les a tant aimées

Delon : Il les a tant aimées

article publié sur parismatch.com
le 20 avril 2011

Dans un magnifique album photo, le plus pudique des acteurs rend hommage aux femmes de sa vie
Un entretien avec Michel Drucker - Paris Match

Delon_Drucker_Delon_Drucker
Avec Michel Drucker, à la terrasse de chez Laurent sur les Champs-Elysées,
Alain feuillette son album « Les femmes de ma vie » (éd. Carpentier).
| Photo Guillaume Gaffiot / Visual Press 

Je le connais depuis longtemps, et pourtant nos tête-à-tête ont été rares. La pudeur sans doute, qui a souvent peur de ces rendez-vous parce qu’ils sont quelquefois faits de ­silence. Notre amitié est née bien sûr sur les plateaux de la télévision, dans les années 70. Mais aussi sur certains tournages. Je me souviens m’être fait tout petit sur le plateau du « Cercle rouge » et du « Clan des Siciliens ». Ce déjeuner avec « le lion », je m’y suis préparé depuis plusieurs jours parce qu’avec Alain on ne sais jamais quelle sera la météo du ­moment. Ciel couvert ou grand bleu. Si ce jour-là vous ­tombez sur « Le samouraï », bonjour l’ambiance ! Mais si vous tombez sur « Plein soleil », vous allez connaître un vrai moment de bonheur parce que, quand le séducteur sourit à la vie, il est alors irrésistible. Ce rendez-vous est important car, pour la première fois, il va me parler longuement d’un sujet qu’il connaît mieux que personne : les femmes… Ses femmes. Celles qui ont partagé sa vie : Nathalie, la seule qui s’est appelée Mme Delon. Mireille Darc, son amie, sa complice pour la vie, celle qui le connaît le mieux. Romy Schneider ­évidemment… Et Anouchka, sa fille, sa star qu’il aime ­aujourd’hui plus que tout au monde et avec qui il vient de vivre, au théâtre, peut-être la plus grande émotion de sa carrière. Mais il y a aussi les femmes qui sont ses amies de toujours, au premier rang desquelles Brigitte Bardot, qui signe de manière éblouissante la préface d’un « album souvenir » événement qui sort dans quelques jours. Et puis il y a ses partenaires, celles qui l’ont accompagné depuis cinquante ans devant les caméras des plus grands metteurs en scène.

Enfin, il y a des révélations, dont la plus touchante est son histoire d’amour avec Dalida. Ils s’étaient connus en 1956, voisins de chambre dans un petit hôtel du VIIIe arrondissement de Paris. Comme convenu, nous nous retrouvons à 13 h 15 chez Laurent, le restaurant des hommes d’affaires et des politiques, à deux pas du palais de l’Elysée. Un endroit calme et discret, propice à la confidence, où les ­réseaux les plus influents se croisent chaque jour. Alain Delon est un ponctuel qui n’aime pas que les autres ne le soient pas. A 13 h 15 précises, je l’aperçois en conversation avec deux femmes blondes qu’il enveloppe de son regard magique. Il est souriant. Je suis tombé sur un bon jour, un jour de séduction. En entrant dans le restaurant, les quelques femmes présentes se retournent sur notre passage – que dis-je ? sur son passage. C’est comme ça depuis cinquante ans. Quand l’acteur français le plus connu dans le monde entre quelque part, à Paris, Tokyo, Shanghai ou Moscou, on a l’impression pendant quelques ­secondes que le temps s’arrête. En passant près d’une table, j’entends une femme blonde couverte de bijoux, la cinquantaine galbée, triomphante, souffler à sa voisine : « Il est toujours beau. » A 17 ans déjà, dira sa mère Mounette, dans la char­cuterie familiale tenue par son beau-père, le môme ­désarmait les clientes rien qu’en les regardant : « Il avait des yeux qui foudroyaient. Il possédait déjà cette aura et ce regard de loup qui mettent tout par terre. »

Ce regard-là a terrassé les plus belles femmes du cinéma français et international. Delon a été un des plus beaux mecs du monde. Et il écrit dans cet album exceptionnel, jalonné de photos souvent inédites : « J’ai voulu par ce livre rendre hommage à celles que j’ai aimées, qui m’ont aimé et à qui je dois tout ce que je suis. » Car cet acteur hors norme doit tout aux femmes. Il n’a cessé de vouloir les séduire et, à 70 ans passés, il aime toujours se retourner sur une silhouette gracile et croiser le regard d’une jeune fille qui lui fait comprendre qu’il n’est pas seulement l’idole de sa mère. Au cours de ce long ­entretien, celui qui se considère comme le « Dernier des ­Siciliens » m’a paru parfois mélancolique, dégageant une forme de lassitude, de désenchantement devant le temps qui file. Car cet homme si doué pour tout n’a jamais été doué pour le bonheur. Comme l’écrit si bien Brigitte Bardot dans sa préface : « Si mon ami Alain donne cette image d’un homme qui mord la vie à pleines dents, il sait aussi apprivoiser la mort. Peut-être sera-t-elle la dernière “femme de sa vie”. »

Livre_Delon

Paris Match. Quel est le premier visage de femme qui t’a marqué ?
Alain Delon. Celui de ma mère, Mounette. C’est la première photo du livre. Ma mère en train de me baigner dans une petite baignoire en cuivre. Mounette (qui s’appelait Edith) m’a adoré, admiré. Elle a été si fière de ma réussite. Elle a compris très vite que je n’étais pas un gamin comme les ­autres. Elle aurait voulu être actrice. Elle en avait le tempérament mais la vie et un remariage en ont décidé autrement. Je suis devenu ce qu’elle avait voulu être et elle a été néanmoins ­heureuse de ma réussite. Je la remercie pour tout cela et pour le reste.

Cet album, “Les femmes de ma vie”, est une sorte de livre de mémoire illustré par des dizaines de photos. Qu’as-tu ressenti en les choisissant ?
C’était émouvant et déchirant. Voir toute sa vie défiler en quelque 200 photos a été parfois une épreuve. Je ne connaissais pas certaines de ces photos. Beaucoup de souvenirs sont revenus. Ce qui me rend mélancolique, c’est que certaines de ces femmes ne sont plus là. D’autres ont vingt ans de plus que moi. Elles sont à la fin de leur vie mais, malgré leur âge, ce sont des personnalités à jamais ancrées dans mon existence. Je dis d’ailleurs, dans le livre, que je retiens ce que j’ai possédé et que je n’oublie jamais.

C’est le cas de Brigitte Auber et de Michèle Cordoue ?
Je peux même affirmer qu’elles m’ont lancé. Brigitte Auber, dans les années 50, était une vedette. Héroïne de “Rendez-vous de juillet” de Jacques Becker, elle était également à l’affiche, à l’époque, de “La main au collet”, d’Alfred ­Hitchcock, aux côtés de Grace Kelly et de Cary Grant. Dans ces années-là, je ne suis rien. Je rentre d’Indochine. Ma rencontre avec Brigitte, rue Saint-Benoît dans une boîte de jazz, sera décisive. J’habiterai très vite chez elle. C’est Brigitte qui me présenta Michèle Courdoue, l’épouse du metteur en scène Yves Allégret. Elle m’imposera auprès de son mari qui me donnera mon premier rôle dans “Quand la femme s’en mêle”, titre prémonitoire. Plus de cinquante ans après, je n’oublie pas ce que je dois à ces deux femmes.

Il y a quatre femmes-clés qui figurent à tes côtés à la une de ce numéro de Match : Romy, Nathalie, Mireille et Anouchka. Comment t’ont-elles aimé ? Comment les as-tu aimées ?
Avec Romy, les souvenirs sont doux et douloureux. Ce que je garde à jamais dans mon cœur, c’est son sourire. Quand elle souriait, tout s’éclairait, se métamorphosait. En 1958, je suis débutant. Elle est déjà “Sissi”, star européenne. Elle n’a que 20 ans. Moi, j’étais un jeune loup que l’Indochine avait durci. Tout nous séparait. J’ai fait des essais concluants, et elle m’a choisi pour être à ses côtés dans “Christine”. Et puis, avec la complicité de mon ami Jean-Claude Brialy qui me manque tant, nous sommes devenus amants.

Vos retrouvailles dix ans après étaient-elles pour toi une façon de la remercier ?
Absolument, entre-temps ma carrière s’était envolée et la sienne avait marqué une longue pause. Ce fut “La piscine”, de Jacques Deray, qui fut un raz de marée.

Dans cette magnifique galerie, il y a celle qui fut la seule à s’appeler Mme Delon. Parle-moi de la maman d’Anthony.
En effet, Nathalie et moi sommes passés devant le maire en 1964 et Anthony est né. Avec Nathalie il y avait une ­ressemblance troublante. On nous a souvent pris pour le frère et la sœur. Notre traversée ne fut pas toujours de tout repos car Nathalie avait un tempérament proche du mien. Mais, avec les années, nous nous sommes retrouvés et je suis fier ­d’Anthony.

Je voudrais que tu me parles maintenant de Mimi, Mireille Darc.
Elle occupe une place à part dans cet album. C’est sans doute, parmi toutes les femmes que j’ai aimées, celle qui me connaît le mieux. Nous nous sommes connus en 1968 pendant le tournage de “La piscine”. J’étais séparé de Nathalie et je ­traversais une période très compliquée avec des soucis extraprofessionnels. Elle a été là, m’a aimé, m’a soutenu, et ça a duré quinze ans. Et je peux dire que ça dure toujours. Elle reste quelque part la femme de ma vie parce que nos liens, notre complicité sont inoxydables. Nous avons vécu tant de choses ensemble !

Elle a du mérite de t’avoir supporté si longtemps, car tu reconnais toi-même que vivre à tes côtés n’est pas une sinécure…
Je le reconnais. Je peux être colérique, caractériel, parfois injuste, et surtout d’une impatience maladive. Je n’aime pas l’hypocrisie ; je dis les choses parfois brutalement. Mireille a vécu des moments difficiles avec moi. C’est d’autant plus ­méritoire qu’elle a eu de graves problèmes cardiaques et a dû se faire opérer. Mon lien avec Mimi ne sera jamais rompu.

Il y a dans le livre une confession troublante et touchante : ton histoire d’amour avec Dalida, dans les années 60.
Nous nous sommes connus bien avant cela, dans les années 50. Je vivotais, je travaillais la nuit et au petit matin je m’écroulais dans la petite chambre d’un hôtel, rue ­Jean-Mermoz, près des Champs-Elysées. Au même étage, dans une autre mansarde, habitait une certaine Yolanda Gigliotti. Elle venait du Proche-Orient avec, comme seul bagage, un titre de Miss Egypte 1954. Nous rêvions de gloire et de lumière. Dix ans plus tard, elle était devenue Dalida et moi Delon. Nous nous sommes retrouvés à Rome. Nous nous sommes aimés loin des regards et des paparazzis, et les rares témoins de notre liaison restèrent discrets pendant des années. Et quand Eddie Barclay et Orlando, le frère de Dalida, nous proposèrent d’enregistrer le fameux duo “Paroles, paroles”, notre complicité était intacte. Je n’ai qu’un regret, qu’un remords, ne pas l’avoir eue au téléphone avant qu’elle ne décide d’en finir avec la vie.

Quelle est aujourd’hui la femme de ta vie ?
Ma fille Anouchka. Il y a quelques années, quand j’ai monté les marches de Cannes avec elle à mon bras, vous n’imaginez pas ce que j’ai ressenti ! Je viens de vivre au ­théâtre une des plus fortes émotions de ma vie. Imaginez : pour ce qui a été peut-être mon dernier tour de piste, j’ai donné la réplique à ma fille, devenue en quelques années une excellente comédienne. Je l’aime passionnément, comme j’aime son frère, Alain-Fabien. Mais que voulez-vous, elle, c’est une femme, alors je craque.

Pourquoi es-tu seul aujourd’hui ? Est-ce un choix délibéré ?
Je ne suis pas seul, pas du tout. Mais vivre avec qui ? Avec une femme beaucoup plus jeune que moi ? Mais je ne suis plus jeune ! Et puis quand on vieillit, on prend des habitudes. Les jeunes me déconcertent, j’ai du mal à les comprendre, eux qui passent leurs journées aimantés par l’écran de leurs ordinateurs et de leurs téléphones portables. Mais tu sais, Michel, il y a chez moi un paradoxe que tu connais. J’ai parfois été heureux en couple mais j’aime aussi être seul avec mes chiens. Les chiens qui ont jalonné ma vie pendant quarante ans m’ont toujours apporté une douceur et une quiétude infinies que les humains ne m’ont jamais données. Comme le dit Brigitte Bardot, cette amie que j’aime tant, il y a chez moi un côté sauvage. Je sais que je suis “un fauve”, et les fauves sont indomptables et

 

24 avril 2011

Delon: Les femmes de ma vie

Delon:
Les femmes de ma vie

Biographie illustrée
Auteur
s: Alain Delon, Philippe Barbier
Préface: Brigitte Bardot

delonlesfemmesDate de sortie: 14 avril 2011
Broché  160 pages
Langue: français
Éditeur: Editions Didier carpentier

Prix éditeur: 29,90 Euros
ISBN-10: 284167715X
ISBN-13: 978-2841677153
Ou le trouver ? en commande sur amazon 
le site de l'éditeur editions didier carpentier 

Présentation de l'éditeur: La Star, adulée du monde entier, est autant amoureux des femmes que de La Femme. Toutes celles qui ont croisé sa destinée sont uniques et irremplaçables dans son cœur d'homme. Il a toujours recherché leur regard pour être " le plus beau, le plus grand, et le plus fort... ". Amours fusionnels et connus du grand public, partenaires à l'écran, ou tout simplement amies " à la vie, à la mort ", elles ont compté et il leur garde à jamais une profonde et touchante tendresse. A travers plus de 200 magnifiques photos noires et couleur, légendées de sa main, pour la grande majorité inédites et provenant de sa collection personnelle, celui qui à écrit le livre d'Or de l'Idéal masculin et de la beauté ténébreuse se confie pour la première fois de sa carrière.

18 avril 2011

LIFE 9/11/1959

mag_LIFE_1959_11_09_usa_cover_by_halsman_1Le magazine américain Life du 9 novembre 1959 (avec Marilyn Monroe en couverture) consacrait un article de trois pages sur le travail du photographe Philippe Halsman, publiant une série de cliché de sa série "JUmp", où il immortalisait des personnalités sautant en l'air; à travers ici des photos de Marilyn Monroe, Sophia Loren, Audrey Hepburn, Brigitte Bardot et Grace Kelly.

mag_LIFE_1959_11_09_usa_p1 mag_LIFE_1959_11_09_usa_p2 mag_LIFE_1959_11_09_usa_p3

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