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brigitte bardot

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BRIGITTE BARDOT

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Bienvenue sur ce blog consacré à Brigitte Bardot

7 mars 2010

Les covers de Arena

Brigitte Bardot en couverture
du magazine yougoslave Arena

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7 mars 2010

Jours de France 2/08/1969

Magazine Jours de France du 2 août 1969.
Dans ce numéro de Jours de France, un article de
Brigitte Bardot sur le tournage de L'Ours et la Poupée.

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B.B: Eté 1969
Brigitte Bardot tourne actuellement "L'Ours et la Poupée" avec Jean-Pierre Cassel et Xavier Gélin, le fils de Daniel. Elle s'amuse beaucoup et c'est de bon augure, car le film sera comique. Mais les plaisirs professionnels ne lui font pas oublier Saint-Tropez et La Madrague où elle a retrouvé, entre deux séquences, avec le soleil et la mer, son "copain" Patrick Gilles. 

7 mars 2010

Jours de France 27/11/1969

bb_mag_jdf_1969_11_27_num781_cMagazine Jours de France du 27 novembre 1969, n°781.
Ce numéro de Jours de France, avec Gérard Philippe en couverture, propose un article (résumé et critique) sur le film Les Femmes, avec
Brigitte Bardot et Maurice Ronet.

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7 mars 2010

23/12/1967 - Jours de France

bb_mag72Jours de France

pays: France
date 23/12/1967
numéro 684
couverture: photographie de Sam Lévin
article de 7 pages
intitulé "B.B. vous présente ses meilleurs voeux - Télé B.B." sur les coulisses du BB Show
diffusé à la télévision pour les fêtes de réveillon du 31 décembre 1967.


- sommaire -
1967-BB_Show-presse-1967-12-23-JDF-cov-sommaire 

- article -
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1967-BB_Show-presse-1967-12-23-JDF-p92  1967-BB_Show-presse-1967-12-23-JDF-p93 

7 mars 2010

Jours de France 16/09/1967

bb_mag_jdf_num670_cMagazine Jours de France du 16 septembre 1967, n°670.
Ce numéro de Jours de France, avec Brigitte Bardot en couverture, propose un reportage sur "l'été brulant" de BB, Madame Gunther Sachs à la ville, et les "trois mois de langueur sous le soleil", d'"une saison frénétique".

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7 mars 2010

Jours de France 23/09/1961

bb_mag_jdf_1961_09_23_num358Magazine Jours de France du 23 septembre 1961, n°358.
Ce numéro de Jours de France, avec Brigitte Bardot en couverture, propose un reportage sur le film Vie Privée, alors en plein tournage.

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6 mars 2010

Olga Kurylenko

olgaOlga Kurylenko, mannequin française d’origine ukrainienne, est devenue une actrice dont tout le monde parle depuis qu’elle joua le fameux rôle de la James Bond Girl auprès de Daniel Craig dans Quantum of Solace.
Omniprésente dans la pub (pour des parfums, du café ...), posant pour les magazines de mode (et même dans les catalogues de vente par correspondance), la brune aux yeux verts se mit dans la peau de Bardot à diverses occasions. Voici un petit florilège de ses transformations... 

bbgirls_olga_mdmefig_coverDans Madame Figaro, du 1er août 2009, Olga Kurylenko rend hommage à Bardot. ( >> lire l'article sur le site  madamefigaro )

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bbgirls_olga_kurilenko_vogueDans Vogue, édition italienne de octobre 2008, Olga Kurylenko s'inspire des années 60 et on reconnaît le fameux look de Brigitte Bardot...

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>> source web :
photos magazine Madame figaro sur newslicious 
photos magazine Vogue sur arpinegrigoryan

6 mars 2010

BB dans La Familia

Brigitte Bardot en couverture
du magazine mexicain La Familia

6 mars 2010

Brigitte Bardot: Les médias m’ont pourri la vie

logo Brigitte Bardot: Les médias m’ont pourri la vie   

article publié sur revue-medias.com
en mars 2006

Véritable mythe, sex-symbol des années 60 et 70, B.B. raconte, avec la franchise qu’on lui connaît, le calvaire que lui ont fait endurer les médias.

mediabbpaparazziCommençons par la cause que vous défendez : la protection des animaux. Est-elle suffisamment prise en compte par les médias ?
Non, pas du tout. C’est un miracle chaque fois qu’on en parle. Il est très rare que nous passions aux journaux télévisés. Je suis obligée de supplier les journalistes - PPDA, Arlette Chabot, etc. - et si je n’appelle pas personnellement les uns ou les autres, ils ne le font pas d’eux-mêmes.

D’autres se montrent-ils plus réceptifs ?
C’est la même chose pour tous les médias. Dites bien les médias : ce n’est pas forcément le fait des journalistes.

Quelle que soit leur sensibilité politique et quelle que soit leur nature : presse écrite, radio, télévision ?
Ils s’en foutent. Ils ne sont pas concernés par les animaux. Un peu comme l’environnement. Et pourtant l’environnement a la cote aujourd’hui.

Comment l’expliquez-vous ?
Je ne sais pas. Ce n’est pas à la mode. Pas assez people.

Votre combat est très personnalisé autour de votre nom. Cela vous aide-t-il ?
Non. Je suis complètement boycottée. Je pensais à une époque que mon nom pouvait servir à quelque chose, ouvrir des portes. Ce n’est plus le cas.

Certains ont eu des mots très durs à votre égard. Cela vous blesse ?
Quand les propos sont durs à mon encontre, j’essaie d’en faire abstraction. Si cela touche à mon action, cela me blesse énormément. Je ne le mérite pas et on n’a pas le droit de mettre en cause mon courage et mon opiniâtreté dans le combat que je mène.

Vous avez vous aussi employé certaines formules franches et parfois dures. Les avez-vous regrettées ?
Non. Pas du tout. Je ne suis pas le genre de Chirac à faire mes excuses pour un oui ou pour un non.

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« J’étais traquée comme un animal ;
j’ai voulu mourir à cause de cela. »


Mais quand vous traitez Fogiel de « petit con » ?

Je vous le redis de tout mon cœur.

Vous pensez que cela fait avancer les choses ?
Mais vous avez vu ce qu’il m’a fait ? Alors, « petit con », ce n’est rien par rapport à ce que j’ai subi durant son émission.

Vous avez été idolâtrée par les médias.
Jamais.

Pourtant, durant dix ans, vous avez été la femme la plus photographiée du monde.
Oui, mais pas idolâtrée. Les médias ont toujours dit des choses épouvantables sur moi. Beaucoup de méchancetés. Et même si on me photographiait, même si on me coursait dans la rue, même si on ne me laissait jamais vivre en paix, c’était rarement pour dire des choses qui me mettaient en valeur. Cela m’a fait du mal. On a dit que j’étais une voleuse de mari, que j’avais des amants en pagaille. Je cherchais la tranquillité et la presse à travers moi cherchait le scandale ! Cela en a été ainsi toute ma vie, cela m’a pourri l’existence, cela m’a fait une réputation abominable dont j’ai eu beaucoup de mal à me défaire. Cela a été la plus grande injustice de ma vie.

Vous avez donc souffert de votre notoriété ?
Pas de la notoriété à proprement parler, mais cette image déformée de moi, qui a constamment été jetée en pâture au public, m’a irritée au plus haut point. Ma vie a toujours été simple. Mais les médias ne montraient qu’une face de la médaille et cachaient l’autre.

Vous n’exagérez pas un peu ?
Je vais vous raconter une anecdote. Un jour, en bas de mon immeuble, j’ai croisé mon père qui venait m’apporter une rose. C’était rituel chez lui, il me prouvait sa tendresse en déposant régulièrement une rose avec un petit mot charmant chez ma concierge. Or, ce jour-là, bien que sachant que j’étais traquée par des photographes planqués dans des voitures ou cachés sous les porches des immeubles d’en face, j’ai pris le temps de l’embrasser tendrement. Quelques jours plus tard, j’ai découvert une des photos prises ce jour-là dans un journal où la légende disait à peu près ceci : « Elle ne se contente plus de séduire les jeunes gens en série mais exerce maintenant son pouvoir sur les hommes plus que mûrs, comme en témoigne la photo ci-dessus. »

Offensée ?
Oui. Cette profession gâche, dégrade, extermine tout sur son passage. Ils sont les Attila du XXe siècle, les fléaux de Dieu et le cauchemar des stars. Vous ne pouvez pas imaginer ce que j’ai vécu. J’étais sans arrêt en alerte. Je vivais en recluse. Les photographes avaient élu domicile au bistro en bas de chez moi et certains allaient même jusqu’à louer à prix d’or les chambres de bonne de l’immeuble d’en face qui donnaient directement dans mon salon. Je vivais fenêtres et rideaux fermés, me méfiant de tout et de tous !

Vous vous êtes même battue physiquement avec certains d’entre eux ?
Mais partout où j’allais, j’étais traquée. Pas seulement en France : à l’étranger également ! En Italie où j’avais réussi à déjouer leur surveillance en me déguisant, j’ai été assaillie par un commando de paparazzi alors que je me reposais au bord d’un lac. J’ai été leur proie, ils m’ont poursuivie, jetée à terre, piétinée, j’ai reçu des crachats, des coups de pied dans la figure. Alors, oui, je me suis battue de toutes mes forces avec mes poings et mes pieds.

J’ai vécu la même chose, dans un autre genre, à New York, lors de la présentation de « Viva Maria ». Un cordon de police était censé assurer ma sécurité. En vain d’ailleurs. La foule était trop importante. Je me souviens de Louis Malle, Pierre Salinger et quelques autres qui m’aidaient à sortir de la voiture. Les policiers, au coude à coude, n’arrivaient pas à endiguer le flot hurlant de la foule. Soudain, nous fûmes littéralement portés, soulevés de terre, ballottés par une marée humaine extraordinaire ! J’ai reçu à ce moment un coup en pleine figure ! Un flash a éclaté à trois centimètres de mon œil droit. Cela m’a provoqué un décollement de rétine. A moitié aveugle et assommée, j’ai quand même pu gagner le hall, agrippée à Louis Malle. Il y eut ce soir-là de nombreux blessés. J’en garde un souvenir épouvantable, et une lésion irréversible de mon seul œil valide.

Vous n’aviez aucun repos ?
Même à la Madrague, ma maison était cernée par les téléobjectifs. Il y en avait partout, sur les bateaux ancrés devant, sur les arbres alentour. Chacun de mes gestes était épié, photographié, disséqué. Vous savez, j’ai voulu mourir à cause de cela. J’étais traquée comme un animal, sursautant à la moindre feuille qui bougeait, m’enfuyant au moindre bruit, scrutant tout ce qui pouvait ressembler de près ou de loin à un appareil photo. Vous voulez une autre anecdote ? Un jour que je prenais le soleil recroquevillée dans un petit coin protégé entre le portail et le ponton, j’ai vu arriver une grotesque Américaine qui nageait en poussant devant elle un cageot de bois. Elle était affublée d’un bonnet de bain en plastique multicolore. Soudain l’Américaine se lève, sort en deux secondes un appareil du cageot et me mitraille à bout portant avec un objectif superprofessionnel. L’Américaine était en réalité un des plus redoutables photographes de presse à scandale de l’époque.

Pierre Lazareff fait figure d’icône aujourd’hui. Qu’en pensez-vous ?
Lazareff était le parrain de mon fils. J’avais des liens d’amitié avec lui. Cela ne l’a pas empêché de très mal se conduire vis-à-vis de moi, en achetant et publiant les « mémoires » de mon secrétaire de l’époque. Et s’il avait pris soin de me prévenir - au nom de ces prétendus liens qui existaient entre nous - il a quand même jeté en pâture toute ma vie privée dans France Dimanche...

Que pensez-vous des journalistes aujourd’hui ?
Cela dépend des journalistes. Mais en général, je me méfie. Je ne donne pas souvent d’interviews et quand j’en donne, je fais attention à qui je parle.

De peur de vous retrouver devant des gens de mauvaise foi ?
Oui, ou qui n’ont pas de réel intérêt.

Y a-t-il des journalistes à qui vous ne donneriez pas d’interview aujourd’hui ?

Oui. Je n’irai jamais me coller dans une émission d’Ardisson.

Vous avez eu des mots très durs sur la télé-réalité.
La télévision est profondément gangrenée par ce genre d’émissions. Je la regarde toute la soirée : croyez-moi, c’est dur ! Quelquefois il n’y a rien à voir tellement c’est stupide. Les programmes sont parfois lamentables ! Le petit écran magique ne reflète plus, hélas, qu’une décadence bien dirigée, tirant son public vers ce que « la France d’en bas » peut offrir de plus dégradant, de plus ordinaire, de plus vulgaire. La télé-réalité n’est qu’une machine d’abêtissement, un crime contre l’intelligence ! Que fait le CSA ? A quoi servent ces « sages » qui laissent diffuser pareilles conneries ?

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« Les journalistes sont des Attila du XXème siècle,
les fléaux de Dieu, le cauchemar des stars. »


Toute la télévision ressemble à ce sombre tableau ?
Heureusement, non ! Il reste encore l’élégant Michel Drucker, et puis Julien Lepers, Nicolas Hulot ou Pascal Sevran et sa personnalité dérangeante.

Quelles sont les émissions que vous aimez regarder ?

J’aimais bien regarder Bernard Pivot. Maintenant je regarde l’émission de Franz-Olivier Giesbert et parfois celle de Mireille Dumas qui a une façon moins « procureur » de dire les choses ou d’interroger ses invités. Et puis je regarde des films, en général américains, ou Arte.

Et en matière de presse écrite ?
Le Figaro : je fais les mots croisés.

Ce n’est pas flatteur !
Si, ils sont très durs les mots croisés du Figaro !

Rien d’autre ?
Libé jamais, Le Monde jamais, Le Parisien jamais.

Et dans les hebdos ?
Match, qui devient nul. Vous comprenez, j’ai connu Match à la belle époque...

Et Elle, qui vous a lancée ?

Elle est devenu l’horreur pour moi. Ils font l’apologie de la fourrure et essaient de faire croire aux jeunes filles que se regarder le nombril, traiter les hommes comme de la merde et se croire la plus belle du monde parce qu’on vous a relookée pendant dix minutes, c’est la vraie vie. C’est une image très superficielle de l’existence que donnent ces journaux aux jeunes filles.

Et des magazines comme Psychologies ?

Je ne connais pas.

Comment prenez-vous les attaques dont vous avez fait l’objet, quand on dit de vous que vous êtes raciste, homophobe ?
J’attends qu’ils se calment puisque ce n’est pas vrai. Je ne peux pas me défendre de choses qui ne sont pas vraies. Alors, je laisse couler. Mais cela me blesse.

Vous ne faites pas de procès ?

J’ai fait des procès quand j’étais encore star de cinéma mais pour des histoires de vie privée. Maintenant, ce sont les autres qui m’en font. Tellement, d’ailleurs, que j’ai dû me rendre au moins cinq fois à la XVIIe chambre du TGI de Paris. J’ai perdu à chaque fois et cela me coûte cher.

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« Que fait le CSA ? A quoi servent ces "sages"
qui laissent diffuser pareilles conneries ? »


Vous avez attaqué des médias pour atteinte à la vie privée, mais vous avez vous-même été condamnée pour « atteinte à la vie privée, propos fautifs et atteinte au droit à l’image » de votre fils et de son père, Jacques Charrier, lors de la publication de vos mémoires en 1996. N’est-ce pas paradoxal ?
Ce qui est paradoxal, c’est que mon fils Nicolas me fasse un procès alors que je lui avais donné à lire mon manuscrit bien avant son édition lorsqu’il était en vacances pour plusieurs semaines à la Madrague et qu’il n’avait alors formulé aucune objection.

Vous faites plus attention maintenant à ce que vous dites ?

Non, je continue de la même façon.

Et comment jugez-vous ceux qui vous intentent ces procès - la Ligue des droits de l’homme, le Mrap ? C’est une incompréhension mutuelle ?
Je trouve cela lamentable et triste. Qu’ils me poursuivent, c’est leur droit. Mais que les tribunaux me donnent tort alors que j’ai prédit des choses qui surviennent aujourd’hui, cela me blesse. Ces ligues et associations qui attaquent, dénoncent, traînent en justice tout ce qui n’est pas politiquement correct, tout ce qui n’est pas pensée unique, au nom d’une haine qui doit être éradiquée, au nom d’événements porteurs de racisme à sens unique. Tous ceux-là sont l’image même de la haine qu’ils combattent avec assiduité, de l’intolérance qu’ils fustigent. Ils épient, sont à l’affût du moindre signe, c’est l’Inquisition du XXIe siècle. On se croirait revenu aux années d’après-guerre où l’épuration faisait rage !

Quand vous êtes allée chez Fogiel, cela faisait sept années que vous n’étiez pas allée dans une émission de ce genre à la télévision. Pourquoi ?
Je n’allais jamais dans ce genre d’émissions. C’est un concours de circonstances.

Mais vous iriez sans problème chez Michel Drucker. Ce n’est donc pas la télévision en soi qui pose un problème.
Si, la télévision est un problème. Michel Drucker incarne la télévision que j’apprécie, mais c’est une exception.

Il y a des choses qu’on ne peut pas dire ?
J’en connais un bout. Mais cela ne m’empêche pas de continuer à les dire. On pouvait dire davantage de choses il y a trente ans ou même dix ans. Plus le temps passe et moins on a la possibilité de s’exprimer librement. C’est le politiquement correct qui s’impose. On n’a plus le droit de penser différemment des autres.

Quelle est votre « emploi du temps médiatique » ?
J’écoute Radio Classique, puis je prends Le Figaro. Je regarde les journaux télévisés de 13 h et de 20 h. Et je zappe entre TF1 et France 2. S’agissant des présentateurs, j’ai une petite préférence pour PPDA.

Vous lisez la presse d’extrême droite ?
C’est mon mari qui la lit. Moi je regarde le dessin de la deuxième page dans Minute.

Vous écrivez dans Présent ?
Non, j’ai écrit dans Présent à l’occasion de l’Aïd-el-Kébir pour protester contre les égorgements dans les cours d’immeubles. C’était il y a plus de quinze ans. Une seule fois.

Politiquement, les médias de droite sont plus attentifs à vos propos que les autres ?
Non, il y a boycott des deux côtés, la droite n’étant plus la droite...

Vos prises de position politiques ont nui à votre combat pour les animaux ?
A un certain moment peut-être. Mais je ne suis pas une femme politique. Je dis simplement mes opinions personnelles qui ne reflètent pas les opinions de ma fondation. Je dis ce que je pense et ma fondation est apolitique. D’ailleurs, des parlementaires de tous bords nous soutiennent dans notre combat.

5 mars 2010

Loana va jouer Brigitte Bardot

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La plus célèbre lofteuse, Loana, va incarner Brigitte Bardot. Pas au cinéma, mais pour une nouvelle version du clip de "La Madrague". C'est dans le 6-9, une émission de radio sur NRJ, le vendredi 5 mars 2010, avec Nikos Aliagas au micro, que Loana a annoncé qu'elle sera prochainement en tournage du clip à Saint Tropez.
"Je reprend le rôle de Brigitte Bardot qui nous ouvre les portes de La Madrague. C'est la première fois qu'elle fait ça, et en échange, je suis dans son association pour les animaux. Quand j'ai rencontré Brigitte Bardot, ça s'est très bien passé, nous avons parlé des animaux", a déclaré Loana. "Ce matin, nous sommes en repérage et cette après midi en tournage. On aura un yacht de 40m2, une Harley Davidson, et hier, nous sommes allés choisir un cheval tout blanc pour que je puisse galoper tout le long de la plage en petite nuisette blanche."

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