Bonne Année | Happy New Year 2025
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Meilleurs Voeux
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Best Wishes
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Meilleurs Voeux
pour 2025
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Best Wishes
for 2025
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France Dimanche
n°4086
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pays: France
hebdomadaire
parution le 20 décembre 2024
prix: 1,80 €
Brigitte Bardot en couverture + article de 1,5 pages
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Le Festival Lumière (également appelé Grand Lyon Film Festival) est un festival de cinéma organisé par l'Institut Lumière et la ville de Lyon. Il a lieu chaque année au mois d'octobre, depuis l'année de sa création en 2009.
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Pour les 15 ans du Festival, organisé cette année du 12 au 20 octobre 2024, Brigitte Bardot et Jeanne Moreau figurent sur l'affiche officielle; une photographie extraite du film Viva Maria ! (1965, de Louis Malle), bien que le film ne fasse pas parti de la programmation.
Retrouvez des articles et toute la programmation sur le site officiel Festival Lumière
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copyright text by GinieLand
France Dimanche
n°4075
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pays: France
hebdomadaire
parution le 4 octobre 2024
prix: 1,80 €
Brigitte Bardot en couverture + article de 1,5 pages
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Ici Paris
n°4135
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pays: France
hebdomadaire
parution le 2 octobre 2024
prix: 1,80 €
Brigitte Bardot en couverture + article de 4 pages
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Paris Match
n°24906
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pays: France
hebdomadaire
parution le 26 septembre 2024
prix: 3,70 €
Brigitte Bardot en couverture + article de 10 pages
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Brigitte Bardot, star grandeur nature
> Par Jean-Louis Remilleux ; en ligne sur parismatch.com
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À 90 ans, Brigitte Bardot poursuit son éternel combat pour la cause animale. Son ami Jean-Louis Remilleux nous raconte un demi-siècle d’amitié.
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Si la tête de Brigitte Bardot ne vous revient pas, si vous détestez les poils de chat sur les lits et les crottes de chien dans Paris, abandonnez tout de suite cet article et jetez le journal au feu. Ce n’est pas le journaliste qui écrit ces lignes pour son anniversaire, mais l’ami de quarante-sept ans. J’ai envie de lui dire publiquement combien elle est unique et pourquoi ce qu’on lui reproche parfois me paraît l’illustration de sa sincérité farouche dans un monde toujours plus fourbe.
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Nous nous rencontrons en 1977. J’ai 18 ans. Elle en a 43. BB a annoncé ses adieux au cinéma et revient de la banquise, où elle a dénoncé la chasse aux blanchons, les bébés phoques. Je lui écris depuis ma bonne ville de Lyon, ne connaissant personne, porté par l’enthousiasme d’une rencontre que j’imagine déjà. Journaliste en herbe je suis prêt à la rejoindre n’importe où, n’importe quand, pour la convaincre de créer ensemble un magazine d’actualité dans le genre de Match, consacré exclusivement aux crimes commis contre les animaux. Je lui écris ma passion pour les bêtes, mon indignation devant le trafic de l’ivoire en Afrique, l’élevage industriel et quantité d’autres méfaits sur lesquels il faut mener l’enquête afin d’éclairer le monde !
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Il faut croire que cette lettre porte et que le projet séduit. Le téléphone sonne un matin. Ma mère me raconte qu’une jeune femme imitant à s’y méprendre Brigitte Bardot a laissé un message pour moi. Je rappelle aussitôt celle que mon père vénère pour le mambo torride de « Et Dieu… créa la femme », que ma mère admire pour trois chefs-d’œuvre du cinéma, « La vérité », « Vie privée » et « En cas de malheur ». Notre première conversation est décevante. Je perds mes moyens. Je ne sais plus quoi lui dire. Je bredouille un « merci de me faire confiance, merci de tout ce que nous allons faire ensemble ! » Rien que cela…
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Quand le journaliste en herbe de 18 ans la rencontre à Méribel, c’est le choc: «Je chute devant elle dans un mètre de neige. Quel faux pas devant tant de beauté!»
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Elle me donne rendez-vous en haute montagne, à Méribel-les-Allues – « C’est à côté de Lyon, non ? » Je n’ai pas encore de voiture, à peine le permis de conduire. J’arrive par l’autocar et je découvre à quelques mètres du terminus une femme blonde et bottée, à peine dissimulée sous un bonnet de laine, derrière des lunettes noires, précédée de trois ou quatre chiens, des setters anglais à la robe tachetée de noir sur fond de neige. Elle est venue m’attendre. Dans ses Mémoires, Brigitte raconte que je ressemble à un petit provincial avec son costume et ses souliers vernis… surtout quand je chute devant elle dans un mètre de neige. Quel faux pas devant tant de beauté ! Une version alpine du syndrome de Stendhal.
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Le chalet Rio où elle loge résonne de ses rires et des crépitements d’un feu de bois. Dans un coin, son compagnon d’alors, le beau Miroslav Brozek, dit « Mirko », talentueux sculpteur, entame une partie de cartes avec des amis. Brigitte m’entraîne dans un face-à-face que je peux résumer ainsi : « La protection des animaux, c’est sérieux. Le cinéma, pour moi, c’est fini ! Des gens ironisent sur mon engagement, mais il faut me croire ! Je veux être utile. Je ne peux pas rester les bras croisés devant toutes ces souffrances. Je vais créer une fondation pour être efficace. J’ai besoin de jeunes comme vous pour m’aider. Battons-nous ensemble ! » Nous ne réaliserons jamais ce journal animalier, nous ferons mieux : une série d’émissions de télévision, trois années durant [de 1989 à 1992, NDLR], sur TF1, présentées par Brigitte Bardot sous le titre de « SOS Animaux ».
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Trois conséquences inattendues : l’interdiction de l’importation d’ivoire en France après le premier épisode sur les éléphants, le développement spectaculaire de la Fondation Brigitte Bardot tout juste créée et… mes débuts de producteur de télévision. Arrive le jour du rendez-vous avec Patrick Le Lay, alors patron de TF1. Je l’appelle sans le connaître pour lui annoncer que BB veut le voir d’urgence. Les portes à double battant s’ouvrent. Brigitte est directe, passionnée, convaincante : « Je veux créer une émission sans concession. Il me faut une totale liberté. Je vous préviens : les vivisecteurs, les chasseurs, les industriels de l’élevage vont en prendre pour leur grade ! Aurez-vous le courage de me laisser faire ? » Le Lay téléphone à Étienne Mougeotte, qui le rejoint subito. Il s’avère enchanté par le projet : « Bravo Patrick, bravo Brigitte ! On commence quand ? » Brigitte : « Tout de suite ! Il n’y a pas une minute à perdre. Première émission dans trois mois. Je vous laisse avec mon producteur, qui s’occupera de tout. » Tête consternée des deux huiles de la première chaîne, qui me découvrent, tassé dans mon fauteuil, baptisé « producteur » alors que j’ignore tout de ce métier.
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Pendant le tournage de ces émissions, qui vont connaître un immense succès dans les années 1990, en France et dans de nombreux pays, Brigitte ne lâche rien. Elle veut des images qui bousculent les consciences et des solutions concrètes. Un combat complexe dont elle mesure les difficultés mais qu’elle n’abandonne jamais. Des soutiens arrivent de partout. Les adhésions aussi. Elle construit ainsi les bases d’une fondation qui, aujourd’hui encore, fait évoluer les mentalités habituées à considérer les animaux comme des objets.
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Quand on évoque ces années-là devant elle, ce moment de bascule où la comédienne la plus adulée laisse la place à la pasionaria, Brigitte, lucide et honnête, admet que ce combat exigeant et chronophage n’a pas sauvé que des animaux. « La vie superficielle des premières années ne pouvait pas me contenter, même avec un succès mondial, confie-t-elle. Il fallait donner un sens à ma vie. Je dois beaucoup aux animaux. Sans eux, je serais probablement morte depuis longtemps. »
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Après son émission sur les abattoirs, des bouchers débarquent chez elle et menacent de faire la peau à ses chiens
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Un soir, des bouchers en colère se réunissent par dizaines autour de sa maison de Bazoches-sur-Guyonne, dans les Yvelines. Ils menacent de faire la peau aux chiens de Brigitte si celle-ci ne revient pas sur son appel à ne plus manger de viande de cheval ! L’émission sur les abattoirs a fait chuter de 20 % la consommation de viande en France. Ses chiens sont planqués sur-le-champ. Des amis débarquent à la rescousse. Les gendarmes aussi. Et les bouchers repartent bredouilles. Le lendemain matin, sur toutes les radios, BB confirme son appel.
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Pour donner du poids à sa fondation, BB souhaite qu’elle soit reconnue d’utilité publique. Elle me demande d’organiser à cette fin un rendez-vous avec le ministre de l’Intérieur, le truculent Charles Pasqua. Place Beauvau, c’est l’effervescence. Toutes les secrétaires sont aux fenêtres quand elle franchit la cour pavée. Le chef de toutes les polices qui veut « terroriser les terroristes » devient, face à notre Marianne, un agneau charmant comme on en croise dans son maquis corse. « Avant d’aller plus loin, tonne Pasqua de sa voix de stentor, venez voir ces intrus sans papiers qui ont osé nicher dans le jardin du ministre ! » Il ouvre une porte-fenêtre, avance dans un buisson et nous montre à distance respectable un nid de merles noirs. La glace est rompue. Mais la loi est la loi. Brigitte doit bloquer un socle financier de trois millions de francs avant que la fondation soit reconnue d’utilité publique. Et, sans revenus professionnels depuis longtemps, elle ne dispose pas de cet argent. « Pas grave, dit-elle sur le chemin du retour, je vais tout vendre : mes robes, mes bijoux et autres fanfreluches. Tout cela ne sert plus à rien. Les chichis parisiens et tout le fourbi, c’est fini ! »
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Ce sera la vente aux enchères orchestrée par maître Jacques Tajan où le monde entier se précipita pour emporter la robe de son mariage avec Roger Vadim, le diamant offert par Gunter Sachs (qui le rachètera lui-même pour aider la fondation !) et quantité de souvenirs personnels, comme cette aquarelle de Marie Laurencin représentant Brigitte enfant. Parmi les acheteurs, un fan discret, Bernard Pivot, fait l’acquisition de flûtes de champagne marquées aux initiales BB. Un peu plus tard, c’est la Madrague, sa maison légendaire de Saint-Tropez, que Bardot va léguer de son vivant à la fondation afin d’assurer sa pérennité.
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Elle écrit à Reagan comme à Poutine, et ne recule devant rien pour la cause
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Car cette femme célèbre dans le monde entier, qui écrit à Reagan comme à Poutine, et rarement pour les féliciter, ne recule devant rien pour la cause. À Mitterrand, qui veut lui décerner la Légion d’honneur, elle rétorque que c’est à l’origine une décoration militaire et qu’elle ne se voit pas la porter. Le président se propose de la lui remettre lui-même à l’Élysée. Elle refuse tout net : « Non merci, vous n’avez pas fait grand-chose pour les animaux ! » On ne comprend les colères ou les enthousiasmes de Brigitte que si l’on veut bien admettre ceci : elle juge ses contemporains à leur comportement envers les animaux. À rien d’autre. Ni la politique ni la religion. Albert Schweitzer, le grand médecin, ne disait pas autre chose : « L’enfant qui se penche sur l’animal souffrant saura un jour tendre la main à son frère ! »
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Brigitte a un instinct très sûr. Ainsi, un jour d’été où, fuyant les paparazzi, Marlon Brando s’est réfugié dans la maison que je loue près de Paris, je crois malin d’en informer Brigitte. Pourquoi ces deux-là ne se rencontreraient-ils pas ? Réponse de Brigitte : « Comment peux-tu recevoir un type pareil chez toi ? » Moi, sincèrement : « Mais enfin Brigitte, il est charmant, je t’assure ! » Et la sentence tombe comme la foudre : « C’est un porc ! L’unique fois que je l’ai croisé, dans les années 1960, son activité essentielle consistait à jeter les œufs de son petit déjeuner contre un mur ! » Quelques jours plus tard, Brando quittait la maison en pleine nuit avec ma femme de chambre philippine. Commentaire hilare de Brigitte : « Marlon est parti avec la bonne ! Ça rime. » Une fois de plus, elle avait raison.
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Bien sûr, Brigitte a reçu une éducation sévère. Elle n’aime pas le gaspillage, l’argent facile, les grossièretés, les usurpateurs, les prétentieux. Elle cherche l’authenticité, la vérité, la générosité. Et vit son rêve le plus simplement du monde, sous le soleil exactement : être une fermière très sage. Est-elle pour autant sourde aux malheurs humains ? Ce qu’elle fait pour ses semblables, elle ne le raconte pas. La vraie charité est discrète, disaient les professeurs d’autrefois.
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Elle aurait pourtant des raisons d’être misanthrope. Dans les années 1970, son secrétaire particulier vend ses souvenirs à la presse à scandale. Plus tard, son gardien loue sa chambre à la Madrague pour arrondir ses fins de mois. Et combien d’appels désespérés à sa générosité, auxquels elle a répondu avec enthousiasme, se sont révélés de pures escroqueries.
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Pendant les années de solitude qu’elle a racontées dans « Le carré de Pluton », second tome de ses Mémoires, Brigitte va mal. Débarquer à la Madrague à l’improviste, c’est la trouver en larmes. Rares sont ceux qu’elle accepte. Pourtant, il suffit d’un anniversaire, d’un coucher de soleil avec Chico et ses Gipsy Kings – qu’elle a réellement découverts – pour que l’envie d’embrasser follement la vie la reprenne ! Avec un humour qui ne la quitte jamais.
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Un jour de fête des Mères, elle m’entraîne dans sa camionnette conduite assez virilement dans les rues tropéziennes pour acheter des brassées de fleurs sur le marché de la place des Lices. « On va porter des bouquets aux mamies de la maison de retraite. Je le fais chaque année, mais il ne faut pas le répéter, sinon les photographes vont tout gâcher ! » Il faut avoir vu son entrée parmi ces pensionnaires qui l’embrassent, la serrent dans leurs bras. Elles demandent qui est ce jeune homme chargé de fleurs qui l’accompagne. « C’est mon nouveau mari ! Comment vous le trouvez ? » Je ne sais plus où me cacher, contraint de confirmer sa blague énorme. Les vieilles dames : « Mais on n’a rien vu dans les journaux ? Vous vous êtes mariés quand ? » Moi : « On préfère rester discrets. Ne le répétez pas ! » Et Brigitte d’éclater de rire tandis qu’une mamie me prend la main : « Prenez bien soin d’elle en tout cas ! Elle est formidable notre Brigitte ! »
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À Gainsbourg devenu Gainsbarre, Brigitte lance sans ménagement : «Écoute-moi, Serge, arrête de boire! Tu te détruis et c’est insupportable»
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C’est dans cette période où le moral est plus ou moins brillant que Brigitte me prie de l’accompagner à un rendez-vous particulier. Serge Gainsbourg veut la revoir afin de lui demander l’autorisation de ressortir la version originale de la chanson « Je t’aime, moi non plus » enregistrée par BB mais interdite par Gunter Sachs, son mari de l’époque. Nous voilà rue de Verneuil à Paris, où Gainsbourg nous attend sur le seuil de sa maison de poupée. Il nous invite à dîner dans sa cantine habituelle, Le Galant Verre, à côté de chez lui.
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Gainsbourg est très intimidé. Brigitte a le regard admiratif et ému. Mais quand ce compositeur exceptionnel vide devant nous une nouvelle bouteille de vieil alcool, elle lui dit sans ménagement ce qu’elle ressent : « Écoute-moi, Serge, arrête de boire ! Tu te détruis, c’est insupportable. Tu es le meilleur de ta génération, pourquoi te perdre dans la boisson comme ça ? C’est un gâchis monstrueux ! » Gainsbourg fait sa moue des mauvais jours, jure qu’il va se contrôler, qu’il essaiera de ne plus boire en souvenir de cette soirée. Pour se faire pardonner, il nous invite à un concert privé chez lui. Au piano, tendrement, il chante à Brigitte ses dernières chansons. Moment de grâce.
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On dit de Brigitte qu’elle a souvent fait scandale. Il est intéressant de noter qu’elle a anticipé plus d’une fois les goûts et les dégoûts des Français. Elle croit plus à la Sainte Vierge qu’aux autorités qui la représentent, mais, comme disait l’abbé Mugnier à l’écrivain Paul Léautaud, qui ne croyait ni en Dieu ni au diable, mais partageait son pavillon de Fontenay-aux-Roses avec des dizaines de chats rescapés : « Vous irez au paradis parce que le jour du jugement dernier il y aura tellement de chiens et de chats qui interviendront pour vous ! »
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copyright text Paris Match
Samedi 28 septembre 2024 - 21h00 - paris premiere
Soirée Brigitte Bardot avec 1 film, 1 doc
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Réalisation: Roger Vadim
Année: 1956
Durée: 1h 40min
Acteurs: Brigitte Bardot, Cürd Jurgens, Jean-Louis Trintignant...
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À Saint-Tropez, tout le monde remarque Juliette. Cette orpheline de 18 ans, adoptée par les Morin, est d'une éclatante beauté. Ingénue, libre et se moquant des conventions, elle s'amuse à séduire les hommes. Eric Carradine, un riche financier allemand, tombe sous son charme. Mais Juliette lui préfère Antoine Tardieu. Inquiets de la réputation de la jeune femme, ses parents adoptifs décident de la renvoyer à l'orphelinat.
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Réalisation: Virginie Linhart
Année: 2016
Durée: 1h 50min
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Les Veillées des Chaumières
n° 3631
pays: France
tous les 15 jours
parution le 18 septembre 2024
prix: 4,95 €
article: 2 pages
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Gala
n° 1632
pays: France
hebdomadaire
parution le 19 septembre 2024
prix: 3,40 €
article: 5 pages
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Album
n° 12
pays: France
Septembre / Octobre
parution le 20 septembre 2024
prix: 14,90 €
article: 130 pages
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Télé Poche
n° 3059
pays: France
hebdomadaire
parution le 23 septembre 2024
prix: 1,70 €
article: 2 pages
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Semaine du 23 au 27 septembre 2024
France 3 Côte d'Azur
ici 12/13 (12h25) et ici 19/20 (19h15)
À retrouver toute la semaine sur paca.france3.fr et sur les réseaux sociaux.
Sur les traces de Brigitte Bardot
une série inédite de 5 épisodes de 4 minutes
réalisée par Nathalie Hayter
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Les épisodes :
Brigitte Bardot et Saint-Tropez
La Madrague
Et Dieu créa la femme
Brigitte Bardot : de la Victorine au Festival de Cannes, en passant par Villefranche-sur-Mer
Le trésor de La Garrigue
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Le 28 septembre 2024, Brigitte Bardot célèbrera ses 90 ans. À l'occasion de l'anniversaire de cette figure légendaire du cinéma français, France 3 Côte d'Azur diffusera une série et une page spéciale, du 23 au 27 septembre. Entre carrière éblouissante et engagements personnels, nous mettrons à l'honneur celle qui demeure aujourd'hui l’un des plus grands symboles de liberté, de féminité et de rébellion.
Témoignages de ceux qui la connaissent, souvent depuis très longtemps, ou bien qui ont travaillé sur le personnage, tels que Henry-Jean Servat, Simonetta Greggio, auteure de "Mes nuits sans Bardot", ou encore Pierre Dussart, photographe et ami très proche de BB. Retour sur les lieux qu’elle a fréquentés ou qu'elle a aimés, notamment à Saint-Tropez, ville où elle réside encore.
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Vendredi 27 septembre, à la veille de son anniversaire, dans ICI 19/20 dès 19.15, diffusion en direct de la ville où elle réside : Saint-Tropez. Le petit port varois s'apprête à célébrer celle qui, en 70 ans de présence, a incontestablement marqué les lieux.
source: francetvpro.fr
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copyright text by arte
Le Parisien
n°24906
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pays: France
quotidien
parution le 21 septembre 2024
prix: 2,10 €
Interview de Brigitte Bardot
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Interview - BB, premier anniversaire sans Delon
> Par Yves Jaeglé ; en ligne sur leparisien.fr
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Paul Watson en prison, la mort d’Alain Delon, son soutien au RN… Brigitte Bardot se confie pour ses 90 ans
B.B. va fêter ses 90 ans ce 28 septembre. Alerte au téléphone, la star ultime confie ses joies quotidiennes et ses deuils. Et son combat pour la cause animale qu’elle poursuit à travers sa Fondation.
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Et Dieu créa le téléphone. C’est B.B. qui nous rappelle quand nous n’y croyions plus après plusieurs tentatives infructueuses pour la joindre. Saint-Tropez ne devrait pas se trouver en zone blanche, mais il y a souvent de la friture sur la ligne. Brigitte Bardot, qui aura 90 ans ce 28 septembre, ne reçoit plus, mais elle parle. La star planétaire de « Et Dieu… créa la femme » et « Le Mépris » n’a jamais vu sa célébrité diminuer depuis sa retraite des plateaux de cinéma, il y a cinquante ans, annoncée en pleine gloire, à 38 ans, en 1973. Son combat pour la cause animale, d’abord moqué, a finalement beaucoup fédéré.
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Au bout du fil — elle a toujours un poste fixe —, la voix un peu canaille et rieuse garde intacte cette façon de créer un moment rare. On s’enthousiasme de son timbre frais et clair, presque mutin : Oui, je vais bien. Il faut toujours attraper cette femme, à jamais sauvage, au vol. Elle commence par vous dire qu’elle a déjà répondu à vos questions par écrit, et l’on se fait taper sur les doigts en suggérant que son mail n’était pas très long : Me racontez pas de conneries !
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La suite de l'article est réservée aux abonnés du Parisien
Résumé de l'interview:
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Pas encore certaine de fêter ses 90 ans Brigitte Bardot. Elle est "en deuil", dit-elle, dans l'interview confession au Parisien : "J’ai perdu mon chien, mon chat, Alain, et mon ami Paul Watson est en prison. Je ne peux pas vous dire que j’ai envie de rigoler".
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Dans cet entretien, elle s’émeut de la façon dont est parti son ami Alain Delon "dans des conditions terribles. Il a été prisonnier chez lui. Personne ne pouvait entrer dans cette propriété ni même lui parler au téléphone. Ce n’est pas lui qui décrochait. La famille décidait de tout. Cette dernière année a été lamentable."
Elle raconte aussi qu’ils ne se voyaient jamais mais qu’ils s’appelaient régulièrement. "On se fêtait nos anniversaires, on s’appelait pour rien du tout, comme ça. Il aimait être seul, et moi aussi", ajoute-t-elle.
Quant à leurs beautés respectives, elle confie que ça les "rapprochait" mais qu’ils étaient tout le temps "guettés".
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Dans cette interview, la défenseure des animaux évoque largement son combat pour les animaux et Paul Watson, défenseur des baleines et emprisonné au Groenland : "on a le même point de vue. Il ne faut pas qu’il soit extradé au Japon. Là-bas, il va mourir".
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copyright text Vanity Fair.