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brigitte bardot
13 juillet 2008

Doutzen Kroes

bb_girls_doutzen_kroes_photo_loreal_1Doutzen Kroes est née le 23 janvier 1985 à Tierjeeksteradeel, près d’Amsterdam aux Pays Bas. Après ses études supérieures, elle commence une brillante carrière de mannequin en Hollande à l’âge de 18 ans. C’est à Paris qu’elle shoote sa première couverture pour le magazine Numéro. En février 2005, elle est élue modèle de l’année par les lecteurs du Vogue.com. Elle a fait les couvertures de Time, Vogue, Harper's Bazaar, Elle... Elle apparaît de manière régulière dans le catalogue de Victoria's Secret, et participa à leur défilé de mode en 2005 et 2006. Cette grande blonde aux yeux bleus a défilé pour les plus grands couturiers: Jean Paul Gaultier, Aleksander Mc Queen, Christian Dior, Louis Vuitton, etc. Elle a aussi participé à des campagnes de publicité de Gucci, Calvin Klein, Tommy Hilfiger, Escada, Dolce & Gabbana, Valentino, Versace, Neiman Marcus, H&M. Elle a incarné également l’image du parfum Eternity de Calvin Klein pour les campagnes d'août 2005 et avril 2006. Depuis juin 2006, elle est une des nouvelles ambassadrices internationales de l’Oréal Paris, avec qui elle signa un contrat de trois ans.
Doutzen est engagée dans la cause humanitaire et l’environnement. Elle soutient des associations comme l’Unicef, Greenpeace et espère pouvoir prêter prochainement son image à l’une de ces associations. Aujourd’hui elle vit entre New York et Paris. Très sportive, elle aime tous les sports d’eau, courir, le patinage et la danse.

Quelques photos où Doutzen Kroes adopte la "BB attitude"
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>> source web :
pour la biographie sur wikipedia et sur Teemix
pour les photographies sur doutzenkroes.free.fr

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6 juillet 2008

Fiche du film Les Bijoutiers du Clair de Lune

>> Sur le web:
- tout sur le film sur
imdb (en anglais)
- infos sur le film sur wikipedia français
 - fiche film et photos sur toutleciné (en français)

24 juin 2009

Expo Brigitte Bardot

Exposition Brigitte Bardot
Les années "insouciance"

BB_Affiche_A4_no_bp_logo Du 29 septembre 2009 au 31 janvier 2010, une exposition consacrée à Brigitte Bardot (voir le site expobrigittebardot) se tiendra au musée des Années 30 (MA30) de la ville de Boulogne-Billancourt et créée par Akouna production.

L'adresse:
MA 30 -Espace Landowski – 28 avenue Morizet – 92100 Boulogne-Billancourt
M° Marcel Sembat ou Boulogne Jean-Jaurès / Parking Hôtel de Ville

Horaires: ouvert tous les jours, sauf Lundi, de 11h à 18h.

Tarifs: de 11 à 13 €
gratuit pour les moins de 16 ans, membres des associations d'amis de musées, enseignants boulonnais et personnel municipal
Réservez vos places sur le site Fnac

Interactive, l'exposition invitera le visiteur à un voyage dans la carrière de Bardot, dans les multiples modes qu'elle a lancé, dans des reconstitutions de ses films majeurs, et à travers le regard de grands artistes dont elle fut la muse. Au programme: des lettres de Giscard d'Estaing, Alain Delon et Jean-Paul Belmondo, des photos inédites de Richard Avedon, Sam Levin, Pierre Boulat, Robert Doisneau, Izis mais également des portraits de l'icône réalisés par Andy Warhol, Van Dongen, des robes de Paco Rabanne, Esterel, Christian Dior, Balmain, ainsi que des tenues portées au cinéma.

La conférence de presse se déroula le mercredi 17 juin à 11h30 dans les salons d'honneur de l'Hôtel de ville de Boulogne-Billancourt en la présence de Pascal Fournier (maire-adjoint à la culture), Pierre-Christophe Baguet (député maire) et Henry-Jean Servat (journaliste écrivain, commaissaire de l'expo).
En attendant le 28 septembre, jour de l'inauguration de cet événement boulonnais majeur, c'est une Brigitte Bardot, très émue qui a parlé en direct au téléphone et conclut cette rencontre en ces termes : «Je suis émerveillée comme une petite fille devant un gros gâteau… le gâteau de mes 75 ans. Cela me touche énormément. C'est adorable (...) C’est une incroyable surprise pour moi. Je suis très émue (…) C'est unique d'avoir une exposition pareille réalisée de son vivant. Je vous remercie tous chaleureusement. Cette exposition va aussi me permettre de remettre certaines pendules à l'heure. C'est important pour mon honneur, car quoique je fasse et quoique je dise, je suis souvent jugée avec beaucoup de sévérité (…) Je n'en reviens pas, cela me touche énormément.»

D'après le site de L'Express, quatre pays, trois européens (dont Bruxelles), le dernier d'Amérique latine, ont déjà acheté l'exposition. Et d'après le site de swisscom, les villes de New York et Los Angeles auraient déjà fait part de leur désir d'héberger la belle BB. 

>> Sur le web: des infos sur Le blog de Pascal Fournier , sur Boulogne Billancourt , sur Le Parisien

10 mars 2009

M comme Madrague

 La Madrague
maison de Brigitte Bardot

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On ne peut qu'assosier le nom de La Madrague à celui de Brigitte Bardot. En effet, La Madrague, qui se trouve à Saint-Tropez, est devenue sans doute la plus célèbre des propriétés, acquise par la star en 1958, et se situe plus exactement sur la route des Canebiers. La Madrague fait d'ailleurs partie du patrimoine civil de Saint-Tropez.

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À l'époque, l'actrice recherchait une maison « les pieds dans l'eau », elle désirait ardemment vivre au bord de la Méditerranée mais ses recherches et visites restèrent infructueuses. Pendant qu'elle tournait La Femme et le pantin à Almería, dans le sud de l'Espagne, ses parents, qui possédaient déjà une résidence à Saint-Tropez, visitèrent la Madrague. Mais l'affaire était une telle exclusivité qu'il fallait faire vite. Sur l'insistance de sa mère, lui déclarant que la maison correspondait à tout ce qu'elle souhaitait, Brigitte Bardot fit le voyage jusque dans le petit village de pêcheurs et eut un vrai coup de cœur pour la propriété et en fit l'acquisition immédiatement.

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Dès lors, la Madrague fut le théâtre de fêtes grandioses qui faisaient les gros titres des journaux parisiens. Sacha Distel, Alain Delon, Jean-Paul Belmondo et bien d'autres passèrent par là. Gunter Sachs déversa même en hélicoptère une pluie de pétales de rose dessus en guise de déclaration d'amour.
La maison fut cambriolée une bonne dizaine de fois. Les gardiens de la Madrague furent un vrai problème durant de nombreuses années pour Brigitte Bardot. Notamment, elle engagea un couple qui venait de commettre un braquage ou encore un gardien qui tenta d'abuser d'elle.

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Quelques années après l'arrêt de sa carrière cinématographique, Brigitte Bardot fit don de sa propriété à sa fondation, afin d'en assurer la pérennité. De fait, elle déclare aujourd'hui « habiter chez ses animaux ». À sa mort, Brigitte Bardot a déclaré vouloir faire de la Madrague un musée où l'argent récolté sera reversé au profit de la Fondation Brigitte-Bardot.

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Aujourd'hui encore, la Madrague fait partie des lieux incontournables visités lors des promenades touristiques en bateaux durant l'été à Saint Tropez, des circuits touristiques proposant aux visiteurs une tournée spéciale où les curieux photographient la propriété de la mer. Bien qu'en 1965, Brigitte Bardot obtint une dérogation exceptionnelle (et payante), l'autorisant à construire des murs sur la plage dans la continuité de sa maison, afin de protéger son intimité, ce qui fit scandale.

>> Source web:
infos provenant de wikipedia 

10 juillet 2009

Les 101 sex-symbols du cinéma

logo_plate_savoir1 Le site Linternaute dresse un panorama des 101 plus grands sex-symbols féminins du cinéma avec Brigitte Bardot en 1ère position, qui devance ainsi Sophia Loren (n°4), Marilyn Monroe (n°5), Ava Gardner (n°9), Monica Bellucci (n°13), Rita Hayworth (n°18), Elizabeth Taylor (n°25), entre autres...

brigitte_bardot_440227"Et mes pieds... Tu les aimes mes pieds ?..." On connait la suite et on a envie de dire OUI ! Brigitte Bardot allie la candeur d'une adolescente et la passion d'une femme fatale, ce qui explique sa carrière aux côtés des plus grands. © Albin Michel

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1 septembre 2009

Laure Manaudou va-t-elle reprendre le flambeau de Brigitte Bardot ?

Laure Manaudou va-t-elle reprendre le flambeau... de Brigitte Bardot ?

article publié par L.R
le 28 août 2009
sur purepeople

laure_manaudou_dans_doggy_celebrites_637x0_1 Laure Manaudou, 22 ans, va avoir un emploi du temps chargé en cette rentrée 2009. A l'affiche du prochain film d'Olivier Dahan, "Le Coach", en salles le 9 septembre, courtisée par TF1 pour incarner l'une des candidates du "Koh Lanta des champions" et groupie indétrônable de son chéri Frédérick Bousquet, elle a du pain sur la planche !

Celle avec qui les médias n'ont pas toujours été cléments suite à ses coups de tête parfois surprenants, ses déboires sentimentaux et la méchante divulgation de photos dénudées, a accepté ce mois-ci de se confier en exclusivité au magazine Doggy Célébrités.

Vous vous en doutez, il n'est question ici ni de piscine, de love story ou de cinéma, mais tout simplement d'amour des animaux !

Et l'on apprend durant l'interview que la jeune sportive, qui pose en couverture avec son chien adoré (tout comme Patrick Sabatier), est très touchée par l'engagement de Brigitte Bardot envers le monde animal. Elle a même déclaré : "Si elle me proposait de devenir l'Ambassadrice de sa Fondation, j'accepterais tout de suite".

Interrogée également par le magazine, Brigitte Bardot semble totalement réceptive aux dires de notre championne de nageuse. Elle a même confié : "J'adore Laure Manaudou, je serais ravie, heureuse et honorée qu'elle devienne ma dauphine".

Après Katherine Heigl qui rêve d'incarner B.B à l'écran, la si polyvalente Laure Manaudou serait-elle prête à reprendre son flambeau dans la vraie vie ? Mystère. En tout cas, c'est surprenant, mais les deux parties n'ont pas l'air contre du tout.

Elle nous épatera toujours cette Laure Manaudou !

17 juillet 2009

L'appel anti-corrida de B.B.

Brigitte Bardot lance un appel anti-corrida à Carla Bruni 

>> source: article du chienne-de-vie.com
par Cécile Cassier - le 17/07/2009
 

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Dans une lettre ouverte adressée à la première dame de France, Brigitte Bardot, figure médiatique par excellence militant pour la cause animale, appelle au soutien du couple présidentiel dans le combat qu’elle mène contre la tauromachie. Dans ce courrier, elle félicite, tout d’abord, Carla Bruni pour son engagement à refuser le port de la fourrure. Cette dernière aurait, en effet, déclaré : « Je ne porte, n’achète, ni ne possède de fourrure… Tous les designers qui me prêtent gracieusement des vêtements pour mes apparitions publiques pourront vous confirmer que je n’accepte pas la moindre pièce de fourrure sur mes tenues », rapporte la fondation Brigitte Bardot.

L’invitant à poursuivre dans cette optique, l’éternelle militante des animaux aurait, en outre, requis l’appui de Mme Bruni-Sarkozy afin que celle-ci intervienne auprès de son mari pour le convaincre de revoir sa position face à la corrida. Pour l’anecdote, elle lui aurait même soufflé les paroles à rapporter au président, empruntant à un texte célèbre de la chanteuse : « quelqu’un m’a dit que la mort d’un animal torturé ne doit plus être admise en France ».

Actrice et activiste reconnue, Brigitte Bardot est loin d’être la seule à militer pour l’abolition des manifestations tauromachiques. Pour preuve, organisé par Flac-Aquitania, association membre de la Fédération des Luttes pour l’Abolition des Corridas (FLAC) (1), un rassemblement pacifique dénonçant la maltraitance animale mise en scène dans les arènes se tiendra le 18 juillet prochain, près des arènes de Plumaçon, durant les fêtes de Mont-de-Marsan dans les Landes. Premier du genre en France, il bénéficiera du soutien de nombreuses associations de protection animale françaises telles que les associations Stéphane Lamart, 30 millions d’amis et la SPA, mais également internationales à l’instar des associations One Voice et la PETA (Pour une Ethique dans le Traitement des Animaux). Sont notamment au programme de cet événement la diffusion de films anti-corrida ainsi qu’une animation scénique orchestrée par la PETA.

1- La FLAC fédère des associations françaises de protection animale comme la Fondation Brigitte Bardot, la SNDA, la SPA, Stéphane Lamart etc., représentant plus de 200 000 adhérents sensibles à la maltraitance animale, mais aussi des associations internationales comme ADDA (Barcelone), le CAS (Hollande).

1 septembre 2009

Katherine Heigl : son rêve est d'être Brigitte Bardot !

Katherine Heigl : son rêve... être Brigitte Bardot ! Oui, oui !

article publié le 27 août 2009
sur purepeople

katherine_heigl_637x0_1Des cheveux blonds, une regard coquin, un sex-appeal indéniable, une moue célèbre... Katherine Heigl a décidément de grosses ressemblances avec son modèle qui est... Brigitte Bardot. En regardant la jolie blonde interprète de Dr Stevens dans la série "Grey's Anatomy", nous avons juste l'impression... de vivre un flashback ! Une ressemblance qu'elle ne cultive pas, mais qu'elle pourrait utiliser à des fins professionnels.

La petite peste de Hollywood qui est à l'affiche de "l'Abominable Vérité" (avec le beau mais dégoutant Gerard Butler) a déclaré dans une interview de Télé 7 jours qu'elle aimerait incarner notre Brigitte nationale au cinéma !

Quand le journaliste lui dit qu'un film sur le sujet est en préparation (réalisé par Kyle Newman), elle répond : "Dites-leur de m'appeler, je suis partante ! Je rêverais de jouer Bardot..."

Un symbole de la sensualité interprété par Miss Heigl ? On valide tout de suite... et puis ça tombe bien : elles ont toutes les deux la langue bien pendue (Brigitte avec nos ministres et Katherine avec le monde du show-biz) !

Katherine Bardot... bientôt au ciné ?

13 octobre 2009

BB, comme Beauté et Bonheur

logojdd Une exposition consacrée à Brigitte Bardot est ouverte à Boulogne. Joie de vivre et insouciance...

article et photo publiés sur jdd.fr

brigitte_bardot_pics_390 BB, comme Beauté et Bonheur
Un millier de photos, en noir et blanc, en couleurs. Et toujours, répétés sur tous ces clichés accrochés de façon chronologique : ces grands yeux, cette bouche pulpeuse, cette crinière, ce corps. Une beauté sidérante. A couper le souffle. De l’adolescence à plus de 40 ans, lorsque BB pose nue coiffée d’une cornette de bonne sœur. Une évidence, en sortant de l’exposition qui ouvre mardi à l’Espace Landowski de Boulogne*: "Dieu, qu’elle était belle !"

Tout le monde croit la connaître. Nous avons tous en tête sa moue sexy, un air de chanson qu’elle a fredonné, une scène de film et – plus tard – ses dérapages verbaux. Avis aux visiteurs, mieux vaut être fan. La rétrospective qui lui est consacrée est un hommage, pas une analyse critique du phénomène. Les organisateurs ont choisi d’ignorer la part d’ombre de ce mythe vivant qui fêtera ses 75 ans le jour de l’inauguration. Mais ils soulignent – de façon réjouissante en cette période de morosité – son côté solaire, sa joie de vivre. L’événement, axé sur "l’insouciance" des années 1950-1960 fait l’impasse sur ces "quelques paroles excessives" de l’actrice vieillissante, selon Henry-Jean Servat, écrivain et journaliste, commissaire de l’exposition, "qu’il faut replacer dans une vie sans pareille".

"Huit mois pour dénicher des centaines de photos"

De salle en salle, de photo en photo, le visiteur est happé par un vent de liberté. Un tourbillon, une bourrasque qui vous décoiffe les accroche-cœur d’une jeune fille du 16e arrondissement, devenue un sex-symbol planétaire. Les photos d’enfance, les tutus de la petite fille qui aimait tant la danse sont parmi les seuls objets prêtés par Brigitte Bardot pour l’exposition. "Elle n’a plus rien, elle a tout vendu aux enchères pour créer sa fondation de défense des animaux, explique Henry-Jean Servat, auteur également de Bardot, la légende (Hors collection). Il nous a fallu huit mois pour dénicher dans les agences photos, chez des collectionneurs, ou chez des stars comme Alain Delon, les centaines de photos dont nous avions besoin." Bernard Pivot a prêté des coupes de champagne, le milliardaire Günther Sachs, l’un de ses ex-maris, trois portraits d’Andy Warhol et des bijoux hors de prix, Valéry Giscard d’Estaing une lettre de remerciements…

A la fin de l’exposition, on a l’impression d’avoir vu en accéléré, une "gamine charmante sans grand intérêt" aux yeux de Gainsbourg se muer "en une femme sublime". Une femme qui a "fait ce qui lui plaît, et c’est cela qui est troublant", selon Simone de Beauvoir. Dans l’ascenseur aux murs miroirs qui mène les visiteurs à la sortie, on surprend une jeune femme en train de passer sa main dans ses cheveux sages. Pour les ébouriffer, se donner du chien. Un peu de légèreté, de glamour et une crânerie assumée. L’effet BB.

*A partir du 29 septembre, du mar. au dim. de 11 h à 18 h. Tarifs : 11 euros, Espace Landowski à Boulogne Billancourt, M° Marcel-Sembat. Rens. : www.expobrigittebardot.com

11 novembre 2009

Une rétrospective célèbre le mythe Bardot

20min_logoUne rétrospective célèbre le mythe Bardot

article publié par Sandrine Cochard
le 28.09.2009,
en ligne sur 20minutes.fr

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EXPOSITION - C'est la première fois qu'un tel événement lui est consacré...

Admirée, copiée ou moquée, Brigitte Bardot reste la plus grande icône française. «Il y a eu Marilyn Monroe aux Etats-Unis et Brigitte Bardot en France», affirme le journaliste Henry-Jean Servat, ami intime de la star et commissaire de la rétrospective consacrée à la star à partir de mardi et jusqu’au 31 janvier 2010. Il aura fallu attendre ses 75 ans (ce lundi) pour que Brigitte Bardot, sex-symbol qui dynamita la société française de l'après-guerre, fasse l'objet d'une première exposition.

Hystérie

La visite débute par «la folie Bardot» dite la salle du scandale. «Il y a ici tout ce que l’on connaît de Bardot, ses polémiques, l’hystérie qu’elle déchaîna», explique Henry-Jean Servat en pointant des images d’archives de Brigitte Bardot au Festival de Cannes en 1967. Puis l’exposition suit une scénographie chronologique sur 900 m2, entraînant le visiteur dans la vie tumultueuse de l'actrice qui contribua à la libération de la femme et des mœurs de l’époque.

A voir >> le diaporama de l'exposition

L’exposition passe en revue les «années insouciantes» de BB, depuis son enfance - des films de famille révélant l'actrice bébé sont dévoilés pour la première fois, ainsi que ses diplômes de danse classique, sa première passion - à ses premiers pas de mannequin, en couverture du magazine Elle, puis d’actrice. Sa carrière cinématographique, retracée à travers 17 affiches originales, des dizaines de costumes dont la robe de Viva Maria, et de nombreux extraits de films dont Et Dieu… créa la femme (1956), de Roger Vadim, qui propulsa Bardot au rang de sex-symbol, La vérité (1960) d’Henri-Georges Clouzot, dont le tournage cauchemardesque la poussa à tenter de se suicider, ou encore Le mépris (1963) de Jean-Luc Godard, à la tirade culte («Tu les aimes mes fesses?»).

Idole

«On découvre Brigitte Bardot mais aussi une époque, celle de la France pépère des années 50 et du président René Coty. Lorsque Brigitte Bardot arrive, elle dynamite tout cela, changeant les codes de la morale avec sa fraîcheur et sa spontanéité», s’enthousiasme Henry-Jean Servat. Deux robes griffées Paco Rabanne ainsi que de nombreux clichés pris par des grands noms de la photo – Ghislain Dussert, Deborah Hirsch, Douglas Kirkland – complète cette ode à la beauté et à la liberté totale de Brigitte Bardot. La rétrospective ne manque aussi pas de saluer les audaces de la star, comme d'avoir tourné le dos au cinéma à 39 ans pour se consacrer aux animaux après un petit détour par la chanson.

Plus de 1.000 photos, affiches, extraits de films et de documentaires, et objets personnels dont sa célèbre robe de mariée en Vichy rose et son Harley-Davidson à ses initiales, sont présentés pour la première fois grâce à une mobilisation d'envergure des studios de films, de la Cinémathèque Française, des agences photographiques et de collectionneurs particuliers. Ainsi Günter Sachs, l'un de ses ex-époux, a prêté deux portraits de BB signés Andy Warhol et jamais exposés en public. Dernière pièce de la rétrospective, un mur d’hommage sur lequel sont reproduites des citations de Jean Cocteau, Arletty, Roger Vadim ou encore Simone de Beauvoir. Au final, monter cette exposition a nécessité six mois de préparation. Et de passion.

21 février 2010

Marguerite Duras

bbsexyDu Japon à New York et vice-versa, elle représente l'aspiration inavouée de l'être humain du sexe mâle, son infidélité virtuelle d'un ordre bien particulier; celle qui l'inclinerait vers le contraire de son épouse, vers la femme de cire qu'il pourrait modeler, faire et défaire à volonté, jusqu'à la mort incluse. Nous l'appellerons de son vrai nom, la reine Bardot.

Janvier 1958

7 mars 2010

Lara Stone pour Louis Vuitton Printemps-Eté 2010

Lara Stone pour la campagne Louis Vuitton
Printemps-Eté 2010

C'est au tour de Lara Stone de prendre la pose pour Louis Vuitton. Façon Brigitte Bardot, le top néerlandais apparaît sous l'objectif de Steven Meisel dans un univers bucolique, nous rappelant l'inquiétant Eden de l'Antichrist de Lars Von Trier. En exclu, les premières images de la campagne printemps-été 2010.

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Lara_Stone_pour_la_campagne_Louis_Vuitton_Printemps_Ete_2010_1 Lara_Stone_pour_la_campagne_Louis_Vuitton_Printemps_Ete_2010_2 Lara_Stone_pour_la_campagne_Louis_Vuitton_Printemps_Ete_2010_3

>> Source: article du 07/02/2009 sur grazia.fr

5 décembre 2009

Le grand duel des générations

gif_tv_zapVendredi 4 décembre 2009 à 20:45 - TF1
Divertissement - Le grand duel des générations

Durée: 2 h 13 minutes
Présenté par: Nikos Aliagas
 Voir l'émission >> sur le site de tf1.fr

Résumé:  Premier duel: Les années 60 contre les années 80 Nikos Aliagas nous donne rendez-vous pour un nouveau divertissement autour de nos meilleures années. Nous avons tous, en effet, une image, un souvenir, un coup de coeur, un moment, une émotion, qui a marqué notre génération et qui incarne notre décennie, qu'on soit des années 60, 70, 80, 90 ou 2000.

Infos: dans la partie années 60 spécial Cinéma, on y découvrait Marilyn Monroe, Romy Schneider, Sophia Loren, Mylène Demongeot, Claudia Cardinale, Brigitte Bardot... Voici quelques captures de Romy Schneider que j'ai réalisée ...

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18 mai 2010

Vidéo VHS B.B en chansons

B.B en chansons

bb_video_BB_en_chansons_1Réalisateur: Jean-Luc Prévost
Editeur: France Télévisions
Parution: 1992
Classification: Spectacle - Concert - Documentaire
Couleur: Couleur
Durée de la vidéo: 75 minutes

Ou le trouver ? d'occasion dur
priceminister  

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Contenu:
- Tu veux ou tu veux pas ?
- L'appareil à sous
- Harley Davidson
- Comic Strip
- Bonnie and Clyde
- Je t'aime moi non plus
- Paris, Paris, Paris
- Tu es le soleil de ma vie
- Les amis de la musique
- Invitango
- El Cuchipe
- Pas davantage
- Faite pour dormir
- C'est rigolo
- Mister sun
- La fille de paille
- Alors raconte
- Les marchés de Provence
- Everybody loves my baby
- Le diable est anglais
- Oh qu'il est vilain
- Nue au soleil
- La madrague
- Sur le boulevard du rhum
- Sidonie
- Noir et blanc
- Initials BB

15 mai 2010

Où est passé le Cannes des années Bardot ?

Où est passé le Cannes des années Bardot ?   

article publié sur lefigaro.fr
le 7 mai 2010

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Sur la plage abandonnée, personnages et gens dorés… En 53, Kirk Douglas
 

Qu'il semble loin, le temps où les stars, en bras de chemise ou en robe d'été, déambulaient sur la Croisette, sans lunettes noires ni gardes du corps ! Souvenirs, souvenirs...

Arcs, flèches, cottes de mailles et huile bouillante : le 12 mai, le Festival de Cannes ouvrira sa 63e édition sur la selle de Robin des bois, dont Ridley Scott a choisi de montrer les années d'avant la légende. Nul ne sait l'accueil que feront les 2246 spectateurs du grand auditorium à cette plongée dans les jeunes années du prince des pauvres gens, mais un tel retour en arrière ne déplairait à aucun des fidèles d'un Festival qu'ils ne reconnaissent plus vraiment. Cachée derrière des barrières, dotée d'un service d'ordre incroyablement musclé, badgée, aseptisée, triée, la plus grande fête du cinéma au monde a éteint ses lampions pour allumer les spots d'une foire à l'image où télévisions et nouveaux médias se disputent les restes d'une gloire enfuie (voir le conflit de ces derniers jours sur les droits de diffusion des images de la montée des marches). «Il fallait venir il y a vingt-cinq ans», racontent les habitués qui, alors, se battaient pour faire partie du décor. «C'est simple, le soir, vers 5 heures, quand on avait fini de travailler, on appelait Kirk Douglas et on allait faire une pétanque sur la Croisette», se souvient Irène Bolling, à l'époque l'envoyée spéciale de Paris Match.

Même écho chez Nicole Cornuz- Langlois qui, oeuvrant pour France 2, n'a rien oublié du temps béni où Maurice Tinchant, producteur et joyeux drille, réunissait dans un jardin, derrière le vieux palais, le «Tout- Septième art». L'argent ne coulait pas à flots ; les rires, si. Acteurs, réalisateurs, journalistes, badauds et passionnés y creusaient dans la pelouse des barbecues improvisés.

Aujourd'hui, tout est cadenassé et l'on ne voit des stars que l'arrière des limousines à vitres fumées qui les déposent au pied de marches où l'on ne rit plus guère. Une fois la séance passée, les mêmes autos fendent la foule du vulgaire pour rechercher leurs précieux clients qu'ils déposent loin de tout ce bruit à l'Eden Roc, dans une villa ou, fissa, à l'aéroport car, hors « promo », on ne s'attarde guère. A l'époque, on croisait tout le monde partout. Tôt le matin, on pouvait, près du Carlton, apercevoir Anouk Aimée sortant d'une fête, son teint pâli redevenant sublime dès qu'elle mettait un pied sur le plateau de Jean-Dominique Bauby. Dans la journée, c'était Bardot descendant d'une 2 CV pour aller déjeuner avec Jacques Charrier à La Maison des Pêcheurs, un restaurant d'Antibes aujourd'hui remplacé par un hôtel de luxe. Tandis que le soleil s'égaillait dans les collines, on aimait le rire de gorge de Sophia Loren au Martinez où descendaient les Italiens, on entendait Nicholson refaire le monde avec Bob Rafelson à la terrasse du Carlton, on buvait avec Pialat, Depardieu et Sandrine Bonnaire à la santé duSoleil de Satan au Majestic, et l'on découvrait, sur la plage, en même temps que José Artur, le maillot de bain de Jean- Paul Sartre habité par le philosophe. Le soir, on voyait Lynch faire sa loi sur une plage où l'on projetait des extraits de son film, tandis qu'un peu plus loin Bruce Willis et Demi Moore faisaient encore semblant de s'embrasser. Parodiant avec quelques années d'avance Barack Obama, premier acteur de la vie politique américaine, chacun goûtait au «Yes, we Cannes !».

A présent, selon Anne de Gasperi, critique et amoureuse de la manifestation depuis trente-cinq ans, «avec le remplacement du vieux palais par le «bunker , ce centre de congrès international, le Festival est devenu mégalomane, même si la joie de découvrir un film est une drogue délicieuse et puissante que seul ce festival peut offrir. Mais la situation économique générale et la course au profit ont tué les critiques dont l'avis ne rapportait rien, les journaux dépendant de la manne publicitaire.»Vrai et faux. Où, ailleurs qu'à Cannes, peut-on voir justement s'écharper des critiques, par journaux interposés, sur tel plan-séquence d'un film coréen de trois heures ? En fait, le Festival est devenu un peu schizophrène, proposant à la fois des sélections de films ultrapointus qui feront peu d'entrées en salles et des défilés d'étoiles aussi filantes qu'inaccessibles. Restera toujours le souvenir de certains bonheurs incroyables de jadis : marcher sur la Croisette et tomber sur Burt Lancaster ou assister, sur la terrasse de l'ancien palais, à l'interview de Visconti. Il est midi et, sous un soleil de plomb, le journaliste lui demande : «Que pensez-vous de la société ?» Alors, sans bouger, celui qui est venu présenter Mort à Venise répond, immortel :«Où voyez-vous une société ?».

4 juin 2010

Brigitte à nouveau célibataire ?

Brigitte Bardot séparée?    

article publié sur enprimeur.ca
le 6 mai 2010

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Selon ce que rapporte Orange News, Brigitte Bardot a suscité des rumeurs voulant qu’elle se soit séparée de son quatrième mari Bernard d'Ormale, alors qu'elle est retournée à Saint-Tropez, en France, après plusieurs années passées à Paris. L’actrice aurait décidé de retourner à Saint-Tropez, l’endroit qu’elle a popularisé durant les années 50 grâce à sa prestation dans Et Dieu... créa la femme, après avoir prétendument rompue avec son quatrième mari, le politicien français Bernard d’Ormale.
Le couple était marié depuis 1992 et vivait tout près de Paris depuis les 15 dernières années. Toutefois, une source a affirmé que Bardot avait quitté l’endroit alors que son mariage tombait en morceaux : « La situation est qu’ils se sont séparés et c’est pourquoi elle est retournée à Saint-Tropez. »

Rappelons que l’actrice Brigitte Bardot a célébré son 75e anniversaire le 28 septembre dernier. Pour cette occasion, la ville de Boulogne-Billancourt, en banlieue de Paris, avait tenu la toute première exposition consacrée à l’icône du cinéma. Cette exposition était présentée à l'Espace Landowski et contenait plus de 1 000 photos, des extraits de ses films, des documentaires ainsi que des objets personnels. Sa fameuse Harley-Davidson à ses initiales y était également, tout comme sa robe de mariée Vichy rose. (Source: Copines.ca)

6 mars 2010

Brigitte Bardot: Les médias m’ont pourri la vie

logo Brigitte Bardot: Les médias m’ont pourri la vie   

article publié sur revue-medias.com
en mars 2006

Véritable mythe, sex-symbol des années 60 et 70, B.B. raconte, avec la franchise qu’on lui connaît, le calvaire que lui ont fait endurer les médias.

mediabbpaparazziCommençons par la cause que vous défendez : la protection des animaux. Est-elle suffisamment prise en compte par les médias ?
Non, pas du tout. C’est un miracle chaque fois qu’on en parle. Il est très rare que nous passions aux journaux télévisés. Je suis obligée de supplier les journalistes - PPDA, Arlette Chabot, etc. - et si je n’appelle pas personnellement les uns ou les autres, ils ne le font pas d’eux-mêmes.

D’autres se montrent-ils plus réceptifs ?
C’est la même chose pour tous les médias. Dites bien les médias : ce n’est pas forcément le fait des journalistes.

Quelle que soit leur sensibilité politique et quelle que soit leur nature : presse écrite, radio, télévision ?
Ils s’en foutent. Ils ne sont pas concernés par les animaux. Un peu comme l’environnement. Et pourtant l’environnement a la cote aujourd’hui.

Comment l’expliquez-vous ?
Je ne sais pas. Ce n’est pas à la mode. Pas assez people.

Votre combat est très personnalisé autour de votre nom. Cela vous aide-t-il ?
Non. Je suis complètement boycottée. Je pensais à une époque que mon nom pouvait servir à quelque chose, ouvrir des portes. Ce n’est plus le cas.

Certains ont eu des mots très durs à votre égard. Cela vous blesse ?
Quand les propos sont durs à mon encontre, j’essaie d’en faire abstraction. Si cela touche à mon action, cela me blesse énormément. Je ne le mérite pas et on n’a pas le droit de mettre en cause mon courage et mon opiniâtreté dans le combat que je mène.

Vous avez vous aussi employé certaines formules franches et parfois dures. Les avez-vous regrettées ?
Non. Pas du tout. Je ne suis pas le genre de Chirac à faire mes excuses pour un oui ou pour un non.

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« J’étais traquée comme un animal ;
j’ai voulu mourir à cause de cela. »


Mais quand vous traitez Fogiel de « petit con » ?

Je vous le redis de tout mon cœur.

Vous pensez que cela fait avancer les choses ?
Mais vous avez vu ce qu’il m’a fait ? Alors, « petit con », ce n’est rien par rapport à ce que j’ai subi durant son émission.

Vous avez été idolâtrée par les médias.
Jamais.

Pourtant, durant dix ans, vous avez été la femme la plus photographiée du monde.
Oui, mais pas idolâtrée. Les médias ont toujours dit des choses épouvantables sur moi. Beaucoup de méchancetés. Et même si on me photographiait, même si on me coursait dans la rue, même si on ne me laissait jamais vivre en paix, c’était rarement pour dire des choses qui me mettaient en valeur. Cela m’a fait du mal. On a dit que j’étais une voleuse de mari, que j’avais des amants en pagaille. Je cherchais la tranquillité et la presse à travers moi cherchait le scandale ! Cela en a été ainsi toute ma vie, cela m’a pourri l’existence, cela m’a fait une réputation abominable dont j’ai eu beaucoup de mal à me défaire. Cela a été la plus grande injustice de ma vie.

Vous avez donc souffert de votre notoriété ?
Pas de la notoriété à proprement parler, mais cette image déformée de moi, qui a constamment été jetée en pâture au public, m’a irritée au plus haut point. Ma vie a toujours été simple. Mais les médias ne montraient qu’une face de la médaille et cachaient l’autre.

Vous n’exagérez pas un peu ?
Je vais vous raconter une anecdote. Un jour, en bas de mon immeuble, j’ai croisé mon père qui venait m’apporter une rose. C’était rituel chez lui, il me prouvait sa tendresse en déposant régulièrement une rose avec un petit mot charmant chez ma concierge. Or, ce jour-là, bien que sachant que j’étais traquée par des photographes planqués dans des voitures ou cachés sous les porches des immeubles d’en face, j’ai pris le temps de l’embrasser tendrement. Quelques jours plus tard, j’ai découvert une des photos prises ce jour-là dans un journal où la légende disait à peu près ceci : « Elle ne se contente plus de séduire les jeunes gens en série mais exerce maintenant son pouvoir sur les hommes plus que mûrs, comme en témoigne la photo ci-dessus. »

Offensée ?
Oui. Cette profession gâche, dégrade, extermine tout sur son passage. Ils sont les Attila du XXe siècle, les fléaux de Dieu et le cauchemar des stars. Vous ne pouvez pas imaginer ce que j’ai vécu. J’étais sans arrêt en alerte. Je vivais en recluse. Les photographes avaient élu domicile au bistro en bas de chez moi et certains allaient même jusqu’à louer à prix d’or les chambres de bonne de l’immeuble d’en face qui donnaient directement dans mon salon. Je vivais fenêtres et rideaux fermés, me méfiant de tout et de tous !

Vous vous êtes même battue physiquement avec certains d’entre eux ?
Mais partout où j’allais, j’étais traquée. Pas seulement en France : à l’étranger également ! En Italie où j’avais réussi à déjouer leur surveillance en me déguisant, j’ai été assaillie par un commando de paparazzi alors que je me reposais au bord d’un lac. J’ai été leur proie, ils m’ont poursuivie, jetée à terre, piétinée, j’ai reçu des crachats, des coups de pied dans la figure. Alors, oui, je me suis battue de toutes mes forces avec mes poings et mes pieds.

J’ai vécu la même chose, dans un autre genre, à New York, lors de la présentation de « Viva Maria ». Un cordon de police était censé assurer ma sécurité. En vain d’ailleurs. La foule était trop importante. Je me souviens de Louis Malle, Pierre Salinger et quelques autres qui m’aidaient à sortir de la voiture. Les policiers, au coude à coude, n’arrivaient pas à endiguer le flot hurlant de la foule. Soudain, nous fûmes littéralement portés, soulevés de terre, ballottés par une marée humaine extraordinaire ! J’ai reçu à ce moment un coup en pleine figure ! Un flash a éclaté à trois centimètres de mon œil droit. Cela m’a provoqué un décollement de rétine. A moitié aveugle et assommée, j’ai quand même pu gagner le hall, agrippée à Louis Malle. Il y eut ce soir-là de nombreux blessés. J’en garde un souvenir épouvantable, et une lésion irréversible de mon seul œil valide.

Vous n’aviez aucun repos ?
Même à la Madrague, ma maison était cernée par les téléobjectifs. Il y en avait partout, sur les bateaux ancrés devant, sur les arbres alentour. Chacun de mes gestes était épié, photographié, disséqué. Vous savez, j’ai voulu mourir à cause de cela. J’étais traquée comme un animal, sursautant à la moindre feuille qui bougeait, m’enfuyant au moindre bruit, scrutant tout ce qui pouvait ressembler de près ou de loin à un appareil photo. Vous voulez une autre anecdote ? Un jour que je prenais le soleil recroquevillée dans un petit coin protégé entre le portail et le ponton, j’ai vu arriver une grotesque Américaine qui nageait en poussant devant elle un cageot de bois. Elle était affublée d’un bonnet de bain en plastique multicolore. Soudain l’Américaine se lève, sort en deux secondes un appareil du cageot et me mitraille à bout portant avec un objectif superprofessionnel. L’Américaine était en réalité un des plus redoutables photographes de presse à scandale de l’époque.

Pierre Lazareff fait figure d’icône aujourd’hui. Qu’en pensez-vous ?
Lazareff était le parrain de mon fils. J’avais des liens d’amitié avec lui. Cela ne l’a pas empêché de très mal se conduire vis-à-vis de moi, en achetant et publiant les « mémoires » de mon secrétaire de l’époque. Et s’il avait pris soin de me prévenir - au nom de ces prétendus liens qui existaient entre nous - il a quand même jeté en pâture toute ma vie privée dans France Dimanche...

Que pensez-vous des journalistes aujourd’hui ?
Cela dépend des journalistes. Mais en général, je me méfie. Je ne donne pas souvent d’interviews et quand j’en donne, je fais attention à qui je parle.

De peur de vous retrouver devant des gens de mauvaise foi ?
Oui, ou qui n’ont pas de réel intérêt.

Y a-t-il des journalistes à qui vous ne donneriez pas d’interview aujourd’hui ?

Oui. Je n’irai jamais me coller dans une émission d’Ardisson.

Vous avez eu des mots très durs sur la télé-réalité.
La télévision est profondément gangrenée par ce genre d’émissions. Je la regarde toute la soirée : croyez-moi, c’est dur ! Quelquefois il n’y a rien à voir tellement c’est stupide. Les programmes sont parfois lamentables ! Le petit écran magique ne reflète plus, hélas, qu’une décadence bien dirigée, tirant son public vers ce que « la France d’en bas » peut offrir de plus dégradant, de plus ordinaire, de plus vulgaire. La télé-réalité n’est qu’une machine d’abêtissement, un crime contre l’intelligence ! Que fait le CSA ? A quoi servent ces « sages » qui laissent diffuser pareilles conneries ?

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« Les journalistes sont des Attila du XXème siècle,
les fléaux de Dieu, le cauchemar des stars. »


Toute la télévision ressemble à ce sombre tableau ?
Heureusement, non ! Il reste encore l’élégant Michel Drucker, et puis Julien Lepers, Nicolas Hulot ou Pascal Sevran et sa personnalité dérangeante.

Quelles sont les émissions que vous aimez regarder ?

J’aimais bien regarder Bernard Pivot. Maintenant je regarde l’émission de Franz-Olivier Giesbert et parfois celle de Mireille Dumas qui a une façon moins « procureur » de dire les choses ou d’interroger ses invités. Et puis je regarde des films, en général américains, ou Arte.

Et en matière de presse écrite ?
Le Figaro : je fais les mots croisés.

Ce n’est pas flatteur !
Si, ils sont très durs les mots croisés du Figaro !

Rien d’autre ?
Libé jamais, Le Monde jamais, Le Parisien jamais.

Et dans les hebdos ?
Match, qui devient nul. Vous comprenez, j’ai connu Match à la belle époque...

Et Elle, qui vous a lancée ?

Elle est devenu l’horreur pour moi. Ils font l’apologie de la fourrure et essaient de faire croire aux jeunes filles que se regarder le nombril, traiter les hommes comme de la merde et se croire la plus belle du monde parce qu’on vous a relookée pendant dix minutes, c’est la vraie vie. C’est une image très superficielle de l’existence que donnent ces journaux aux jeunes filles.

Et des magazines comme Psychologies ?

Je ne connais pas.

Comment prenez-vous les attaques dont vous avez fait l’objet, quand on dit de vous que vous êtes raciste, homophobe ?
J’attends qu’ils se calment puisque ce n’est pas vrai. Je ne peux pas me défendre de choses qui ne sont pas vraies. Alors, je laisse couler. Mais cela me blesse.

Vous ne faites pas de procès ?

J’ai fait des procès quand j’étais encore star de cinéma mais pour des histoires de vie privée. Maintenant, ce sont les autres qui m’en font. Tellement, d’ailleurs, que j’ai dû me rendre au moins cinq fois à la XVIIe chambre du TGI de Paris. J’ai perdu à chaque fois et cela me coûte cher.

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« Que fait le CSA ? A quoi servent ces "sages"
qui laissent diffuser pareilles conneries ? »


Vous avez attaqué des médias pour atteinte à la vie privée, mais vous avez vous-même été condamnée pour « atteinte à la vie privée, propos fautifs et atteinte au droit à l’image » de votre fils et de son père, Jacques Charrier, lors de la publication de vos mémoires en 1996. N’est-ce pas paradoxal ?
Ce qui est paradoxal, c’est que mon fils Nicolas me fasse un procès alors que je lui avais donné à lire mon manuscrit bien avant son édition lorsqu’il était en vacances pour plusieurs semaines à la Madrague et qu’il n’avait alors formulé aucune objection.

Vous faites plus attention maintenant à ce que vous dites ?

Non, je continue de la même façon.

Et comment jugez-vous ceux qui vous intentent ces procès - la Ligue des droits de l’homme, le Mrap ? C’est une incompréhension mutuelle ?
Je trouve cela lamentable et triste. Qu’ils me poursuivent, c’est leur droit. Mais que les tribunaux me donnent tort alors que j’ai prédit des choses qui surviennent aujourd’hui, cela me blesse. Ces ligues et associations qui attaquent, dénoncent, traînent en justice tout ce qui n’est pas politiquement correct, tout ce qui n’est pas pensée unique, au nom d’une haine qui doit être éradiquée, au nom d’événements porteurs de racisme à sens unique. Tous ceux-là sont l’image même de la haine qu’ils combattent avec assiduité, de l’intolérance qu’ils fustigent. Ils épient, sont à l’affût du moindre signe, c’est l’Inquisition du XXIe siècle. On se croirait revenu aux années d’après-guerre où l’épuration faisait rage !

Quand vous êtes allée chez Fogiel, cela faisait sept années que vous n’étiez pas allée dans une émission de ce genre à la télévision. Pourquoi ?
Je n’allais jamais dans ce genre d’émissions. C’est un concours de circonstances.

Mais vous iriez sans problème chez Michel Drucker. Ce n’est donc pas la télévision en soi qui pose un problème.
Si, la télévision est un problème. Michel Drucker incarne la télévision que j’apprécie, mais c’est une exception.

Il y a des choses qu’on ne peut pas dire ?
J’en connais un bout. Mais cela ne m’empêche pas de continuer à les dire. On pouvait dire davantage de choses il y a trente ans ou même dix ans. Plus le temps passe et moins on a la possibilité de s’exprimer librement. C’est le politiquement correct qui s’impose. On n’a plus le droit de penser différemment des autres.

Quelle est votre « emploi du temps médiatique » ?
J’écoute Radio Classique, puis je prends Le Figaro. Je regarde les journaux télévisés de 13 h et de 20 h. Et je zappe entre TF1 et France 2. S’agissant des présentateurs, j’ai une petite préférence pour PPDA.

Vous lisez la presse d’extrême droite ?
C’est mon mari qui la lit. Moi je regarde le dessin de la deuxième page dans Minute.

Vous écrivez dans Présent ?
Non, j’ai écrit dans Présent à l’occasion de l’Aïd-el-Kébir pour protester contre les égorgements dans les cours d’immeubles. C’était il y a plus de quinze ans. Une seule fois.

Politiquement, les médias de droite sont plus attentifs à vos propos que les autres ?
Non, il y a boycott des deux côtés, la droite n’étant plus la droite...

Vos prises de position politiques ont nui à votre combat pour les animaux ?
A un certain moment peut-être. Mais je ne suis pas une femme politique. Je dis simplement mes opinions personnelles qui ne reflètent pas les opinions de ma fondation. Je dis ce que je pense et ma fondation est apolitique. D’ailleurs, des parlementaires de tous bords nous soutiennent dans notre combat.

9 juillet 2010

TV - Et Brigitte créa Bardot

gif_tv_zap Vendredi 9 juillet 2010 à 21h30 - France 5
Rediffusion samedi 17 juillet à 23h52

 Documentaire - Et Brigitte créa Bardot

année: 2007
Réalisation: Benjamin Roussel
Ecrit par: Jean-Louis Remilleux
Durée: 52 min

Résumé: La star revient sur les grands moments d'un destin unique : son enfance parisienne, ses débuts au cinéma, ses rencontres - Roger Vadim, Gunter Sachs, Serge Gainsbourg - ses chansons, sa vie publique et privée qui ont construit la légende de BB. Mais au-delà de ses confidences sur un parcours hors norme, Brigitte Bardot tire les leçons d'une vie longtemps sur le fil du rasoir. Pression des paparazzi, solitude du statut d'icône, désespoirs amoureux et amicaux, tentatives de suicide... ' Si je n'avais pas bâti la Fondation qui porte mon nom, je serais morte aujourd'hui... '. En donnant un sens à sa vie après avoir arrêté le cinéma à 39 ans dont le documentaire propose des extraits - ' Le Mépris ' de Jean-Luc Godard, ' Vie Privée ' de Louis Malle, ' La Vérité ' de Henri-Georges Clouzot - Brigitte Bardot laisse entendre que son passé extraordinaire de star aura eu des conséquences indélébiles sur ses jugements tranchés d'aujourd'hui. La pression des curieux, la traque des photographes, les faux sentiments de quelques hommes et l'attente des médias expliquent sans doute pourquoi elle juge durement aujourd'hui le genre humain : ' Si je suis si proche des animaux et si j'ai décidé de leur consacrer ma vie, c'est aussi parce que j'ai été pourchassée comme un animal traqué. Je peux les comprendre mieux que quiconque...'  

3 août 2010

Carla Bruni taclée par Brigitte Bardot

« Carla Bruni est aussi belle que mal élevée »    

article publié sur voici.fr
le 30 juillet 2010

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Brigitte Bardot n’a pas été tendre avec la première dame de France. Elle n’a pas mâché ses mots et a déclaré que Carla Bruni était « mal élevée ».

Ce n’est pas pour louer les talents d’actrice de Carla Bruni, par ailleurs raillée par les Anglais, que Brigitte Bardot s’est exprimée. Dans un entretien accordé à l’hebdomadaire France dimanche, BB s’en est pris à la première dame.

Petit rappel, il y a environ un an, l’ex-mannequin et la protectrice des animaux avaient conversé. L’ancienne icône des années 60 avait notamment remercié Carla de refuser de porter de la fourrure. Une action militante très importante pour BB. L’épouse de Nicolas Sarkozy avait alors remercié l’ex-conquête de Gainsbourg. Pour entretenir ces bonnes relations, Brigitte Bardot avait envoyé le mois dernier le dernier modèle de Lancel, BB, à Carla. Ce sac de la célèbre marque de maroquinerie a été en partie créé par Brigitte Bardot, comme Adjani l’avait fait avant elle. Mais depuis, plus rien et pas un seul mot de remerciement. « Je n’ai évidemment reçu aucun remerciement de la part de Carla Bruni, qui est aussi belle que mal élevée », a-t-elle déclaré dans France Dimanche.
C’est peut-être la couleur qui ne lui a pas plu…

21 janvier 2010

20/11/2010: Gainsbourg vie héroïque

gainsb_film_1 Mercredi 20 janvier 2010
Sortie nationale cinéma
Gainsbourg
vie héroïque

Réalisé par Joann Sfar
Avec Avec Eric Elmosnino, Lucy Gordon, Laetitia Casta, Anna Mouglalis, Sara Forestier, Mylène Jampanoï, Philippe Katerine, Yolande Moreau, François Morel, 

Long-métrage français.
Genre: Biopic
Durée: 2h10 min
Année de production: 2009

Résumé: La vie de Gainsbourg, du jeune Lucien Ginsburg dans le Paris occupé des années 1940, jusqu'au poète, compositeur et chanteur célébré dans le monde entier.
Le film explore son itinéraire artistique, du jeune homme épris de peinture à la consécration de sa musique dont l'avant-gardisme en a fait une véritable icône de la culture française. Mais aussi la complexité de sa vie adulte à travers ses amours tumultueuses.

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>> Le site officiel gainsbourg-lefilm.com 
>> Les séances cinema sur allocine

2 mars 2011

Mort d’Annie Girardot : le coup de gueule de Brigitte Bardot

Bardot critique « la famille du cinéma »

article publié sur voici.fr
le 1er mars 2011

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L’hommage unanime du cinéma français à Annie Girardot a déclenché la colère de Brigitte Bardot. Elle reproche à la profession d’avoir abandonné celle qui était son amie…
Aux paroles, Brigitte Bardot aurait préféré des actes. L’annonce hier du décès d’Annie Girardot a entraîné une litanie d’hommages issus de ce que l’on a coutume d’appeler la famille du cinéma français. Des témoignages unanimes d’affection et d’admiration qui ont soulevé l’indignation de Brigitte Bardot. Non pas que Bardot estime que les hommages n’étaient pas mérités, bien au contraire. Ce qu’elle dénonce, c’est l’hypocrisie du cinéma français. Selon elle, beaucoup célèbrent aujourd’hui le souvenir d’Annie Girardot alors qu’ils l’avaient complètement oubliée, d’autant plus depuis que son état se dégradait continuellement à cause de la maladie d’Alzheimer.

« Après la mort de Maria Schneider, qui m’a déjà rendue si triste, c’est comme si on m’avait enfoncé un nouveau clou dans le cœur. J’avais pour elle une infinie tendresse, s’est émue BB dans Le Parisien. Ma santé m’empêchait de la visiter mais mon secrétaire, Franck, lui apportait mes petits mots qu’on lui lisait…. Annie qui a été une actrice très importante, a été oubliée par cette famille, entre guillemets, du cinéma… Cette famille-là, qu’elle aille se faire f***** ! Ce n’est pas une famille. Ces gens l’ont laissée tomber. » Un coup de gueule partagé par le journaliste Henry-Jean Servat qui a dressé à peu près le même constat.
« La Nouvelle Vague n'a jamais voulu faire travailler Annie Girardot, jamais ! Alors maintenant on vient me dire qu'elle était bonne actrice ? Elle n'a jamais eu d'hommage au César, jamais on n'a célébré Annie Girardot ! , s’est-il indigné hier sur le plateau de C à vous. Aujourd’hui quand on vient me dire qu’elle était une fille formidable… Elle était dans une maison, solitaire. Je sais qui prenait des nouvelles d’elle : Delon, Hossein et Bardot […]. Alors quand j’entends la profession qui sanglote sur Annie Girardot alors qu’elle l’a laissée crever […], je trouve ça inimaginable. »

C.G.

28 juillet 2011

En hommage à Amy Winehouse

Amy Whinehouse
(14/09/1983 - 23/07/2011)

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Son corps a été retrouvé sans vie à son domicile: Amy est morte seule, dans son lit. Elle n'avait que 27 ans et une voix d'or qui la fait rentrer pour toujours dans le panthéon des grandes chanteuses de la soul music. Bye Amy et repose en paix.

Quand Amy prenait la pose BB en 2006...

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> Source photos d'Amy sur AWO 

6 septembre 2011

Fashion Flash-back – Brigitte Bardot

Le look "bobor" de rentrée de l’icône des sixties
article publié par Pauline Gallard le 2/09/2011 sur gala.fr

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Alors que tout le monde n’a que le nouveau concept bobor à la bouche –mélange de bourgeoise et boring, soit ennuyeux-, nous avons consacré notre Fashion Flash-Back de cette semaine à décrypter cette tendance. Pour cela, quoi de mieux que de faire appel à Brigitte Bardot, qui nous dicte le look à adopter pour la rentrée. Cela fait bien longtemps que l’école est finie pour vous? Eh bien c’est encore mieux.

Sus à la crise! Brigitte Bardot nous propose un look anti-morosité pour renouer avec la bourgeoise qui sommeille en nous –mais si, entre les mocassins à glands et le serre-tête en velours! Nous sommes en 1964, sur le tournage de la ravissante idiote, et notre BB nationale arbore une ravissante tenue chic, option cachemire, imprimé tartan et gros nœud rouge. Un look d’apparat pour aller chercher bambino et bambina à l’école, tout à fait dans l’esprit de la saison.

Vous aussi, adoptez le tricot de peau rouge en cachemire, au sage col rond, et manches trois quarts, à associer avec une jupe façon kilt en tartan, pour réveiller votre petit côté lord. Sur votre brushing impeccable –la bobor est nickel jusqu’au bout des pointes- posez astucieusement un gros nœud rouge sur un volume crêpé. Côté make-up, la bobor se la joue low profile –c’est-à-dire qu’elle fait profil bas- avec un teint pâle et harmonieux, une bouche gourmande et nude, et un regard ourlé de noir, travaillé au bon vieux mascara cake. La touche finale: le double bracelet de perles, pour être ultra-bobor.
On adore ce look british rétro au charme pourtant hautement actuel, mis en lumière comme personne par Brigitte Bardot.

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29 mai 2013

Docu TV - Jean-Claude Brialy, le goût des autres

Jean-Claude Brialy, le goût des autres

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 Année: 2013
Réalisation: Henry-Jean Servat, Bruno Bouvier
Pays: France
Durée: 86 minutes

Documentaire sur la vie et la carrière de Jean-Claude Brialy.
Intervenants: Françoise Arnoul, Pierre Arditi, Dominique Besnehard, Evelyne Bouix, Mylène Demongeot, Laurent Gerra, Robert Hossein, Gilles Jacob, Anna Karina, Muriel Mayette, Jean-François Copé, Nana Mouskouri, Pascale Petit, Mathilde Seigner, Marina Vlady, Carole Weisweiller.
Infos: Le documentaire a été diffusé le 27 mai 2013 sur France 5 et TV5 Monde.

Documentaire qui contient quelques images d'archives de Brigitte Bardot, qui témoigne -par téléphone- de son amitié à Jean-Claude Brialy:

docu_brialy_cap07a docu_brialy_cap07b docu_brialy_cap07c
docu_brialy_cap07d docu_brialy_cap07e docu_brialy_cap07f

"Je trouve que c'était un type formidable. Non seulement il avait une élégance, un humour et un coeur d'or, alors si le petit hommage que je peux lui rendre peut le mettre en valeur vis à vis de ceux qui ne l'ont pas connu, je n'aime pas énormément tout le monde; au contraire, je suis très difficile dans mes choix, mais Jean-Claude, c'était quelqu'un d'unique et que j'aimais".
Jean-Claude Brialy appelait Brigitte "petite soeur".

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10 septembre 2011

Le Blog est à la Une sur Canalblog

 blogBbalaune

Quelle surprise ! Et dire que je ne m'occupais plus trop de ce blog... et le voilà sélectionné dans le "Blog à la Une" de ce jour par canalblog. Je remercie les membres du staff de canalblog d'avoir porté leur choix sur mon blog de Brigitte Bardot, ça fait plaisir de découvrir son blog dans la sélection coup de coeur du jour ! Bienvenue à tous les nouveaux visiteurs.
 

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